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CAUSES DES VARIATIONS
DtS-i'ORRES DtS eintsï'îtiiti
PREMIÈRE SECTION.
gur les solution-peu doncentrées. Dans le cas -tle sécheresse , l'évapi:Wation rapide produit 'Promptement le degre
Lffets des diverses circonstances variables qui aeOlripagnent toujours chaque opération de crista ilisation. i4. Les -.circonstances Variables dont j'ai cherché ici à déterminer les effets, sont la température, l'état barométrique et hygrométrique la lenteur de l'atmosphère; la promptitude eu l'état de conde l'évaporation ; la température la solution', la' tome centration-et le volume de des appareils, etc. D'après les différentes expériences que J'ai faites à ce sujet, j'ai reconnu en général que ces diverses circonstances ne- produisait ntauet ne cune variation dans les formes cristallines, de donner aux cristaux faisaient autre chose que plus -ou -moins de netteté ou de volume, ou provoquer des groupemens différene: 15. L'état de l'atmosphère détermine en gé.néral une évaporation :plus ou-inoinsabondante. Si l'air est chaud et. très-sec , l'évaporation est très-forte ,'et dans Ce .cas il arrive souvent que La solution -concentrée rapidement è 'fourriit que des erisitant mal confort-#és et groupés conesuirès-hninidel'évaporation fusé ruent. est nulle et;ria soiuti;orr:restestâtionnaire , ou , et alors bien ele ateire e::ristatix déjà' formés il arrive souvent que les géfiérà1 que se:trouvent redissons. Ce .0')eàt' en modérée, un état hygrodans une température métrique moyen, qu'on obtient ordinairement une cristallisation bien nette. Ces deux cas extrêmes d'humidité et de sécheresse. présentent une différence frappante .
cleëodeentration coitiv'enable pour qu'il se forme descristauXJ'é-
',tYuliers qui se précipitent alors dà'iià lé
Mais par l'humidité , les sels .Witnpent fa"-cilement sur les parois deivagés:, où ils forment 'une sorte de végétation Cristalline , qui présente des ramifications saillants, plus ou rnoinS lon-
gues, et quelquefois trèS.agrables. Si l'air dévient tout coupsec , la ramification s'arri'ciç, et il se forme des cristauX dafis là liqueur. :Si l'humidité reparaît , les ramifications recoirilmencent mais très-rarement,:gilr les points du vase où elles avaient lieu anparavant. Ces ramifications s'accroissent d'une manière particulière; il se forme d'abord sur les parois du vase quelques points saillans, lesquels
ensuite poussés au dehors Par des molécules sont cristallines, qui viennent s'appliquer successâTernent
au-dessous des premières, et qui sont apportées
par le liquide que l'action capillaire introduit
entre la paroi du vase et la 6rtette saline.' Lorsqu il s'est ainsi formé une piiémière ,petite brari:che simple, le liquide eo&e, bientôt Sur ellè comme sur les parois mérneS dus1ase, détéernine. également quelques points cridtallins qui sont poussés au- .dehors par les molécules suivantes'. La petite branche simple seramifie par ce moyen, et en définitif il se forme une une plus ou moins compliquée.végétation'cristah. Ce mode de fori/uition nieparaît expliquer.parfaitement la manière dOili Së forment les efiToréscences salines sur les rolehersetsurles murailles. Il inc conduit aussi à Concevoir 'Comment sont
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