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DES nouiLnkREs.
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MINERAIS DE FER
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La texture des grès et celle di minerai compacte se rencontrent quelquefois .sur un même échan-
tillon; le mica se fait presque toujours apercevoir en parcelles plus ou moins rares dans les deux variétés, sur-tout à la loupe. L'analyse indique seulement une différence dans les proportions des terres, en démontrant que dans toutes, après Poxide de fer, la silice unie à un peu d'a-
lumine forme la matière dominante (I). Enfin la commune origine des grès et des minerais
541 sirs, et. dont il n'est plus permis de confondre les diverses variétés avec les schistes et les grès ap-
partenant à d'autres -terrains (I). Cette distinction a été utile en géologie, et il convient d'assigner de même une place précise aux minerais de fer. Nous ne prétendons point faire une nomenclature purement scientifique, mais indiquer aux mineurs et aux métallurgistes des moyens pour les chercher dans leurs divers
gisemens et pour les reconnaître sous leurs diverses /ormes. Voici les noms qui ont déjà été
semble confirmée par le bitume toujours contenu
dans le minerai, et auquel il faut attribuer sa couleur noire et ses nuances de gris, que prennent également toutes les portions du terrain accompagnant (2); ainsi on peut regarder les minerais 'comme des grès plus ou moins. fins, mêlés en toutes proportions avec du carbonate de fer et du bitume; ils ont un caractère qui leur est propre, et ils constituent un type qui appartient aussi essentiellement à la formation houillère que les schistes et que les grès dont les minéralogistes ont déjà fait des genres excluDans une seule circonstance, ,et cest la dernière analyse
que nous avons citée, la silice etJ'aluMine ne formaient que o o2 de la masse, tandis que lé carbonate de Chaux en forniait. 0,15. L'échantillon pouvait accidentellement constituer un grès avec excès de calcaire. Nous n'avons point fait entrer dans ces considérations: les impressions des plantes ni des coquilles. Les impressions: se rencontrent trèsfréquernmentimais les coquilles sont rares,; ou du moins ne se trouvent que dans quelques localités, exnpâtées, dans des minerais de fer et dans des Schistes. Nous ne periàcnis point que ces impresslong ni ces cirquillesodifient lès ifoloïer.: vations générales que nous présentons.1:..
(r) L'ouvrage dans lequel j'aurais le plus espéré de trouver des renseignemens sur ces minerais de est le Traité de M. Voigt. sur les houilles - ( 1802 et 1804). fer'Voici ce qu'en dit la traduction insérée .dans le N°. 157 du Journal des Mines , ( page 34) : En Angleterre, on voit des couches de raine aigileuse'de fer.» Je n ai jamais vu un pareil fait. Ailleurs (page 5o ), M. Yedgt,- en -décrivant les substances. étrangères, trouvées -d'ans les couches de bouille, dit : « Que ces substances sont principalement des masses terreuses ou pierronses, appelées swhalen par les mineurs allemands-Que Ces swhûleri sont, le plus souvent, une, argile endurcie, bitumineuse, qui a l'aspect d'un jaspe'. Lorsqu'elle est surchargée"de silice, elle :passe au Rieseleltiefer, et donne beaucoup d'étincelles par le.,Choc du briquet. Ces deux extr6mes, l'argile endurcie et le .ls,ieselchiefer, sont bien caractérisés; Mais tous les intermédiaires, qui se trouvent entre eux, mettraient dans l'embarras le meilleur ory-ctognoste , s'il voulait déterriiiner avee précision -ce qu'ils sont. »:;'Or, il est évident que parmi ces matières- se trouvent des minerais de fer. Cesï deux citations suflisent,dorte pour faire Voir vie, ces minerais n'étaient point connus de M. Voigt, et elles --e'xpliquent cominent ils ont dû lui 'échapper dans le Cbtrès ik ses recherches. Le traducteur, M. D'Aubuisson , cite en *noie:ceux de Gleivvitz , en Silésie, et en -indique dans' l'affleurement d'une couche de houille, à Frugères, Haute Loire..