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NOTICZS
qui précède : il est décrit dans le mémoire de MM. Lamé et Clapeyron. IV. Sur les. mines de fer du Hartz. liancsdefer Les g,ites de mirerais de fer exploités dans le "idéd"sla partie occi- Hart7 sont de nature très - diverse : on y con-, d entale du naît des bancs, des filons et des amas de plusieurs Hartz, espèces. 1°.
Relativement au premier
de gisement, il faut remarquer d'abord unmode terrain compris par les géologues allemands parmi les griinsteins, désigne au Hartz sous les noms de terstein et de perlstein,et que j'ai proposé de mer terrain de spillite variolé (I), terrain nomformé de roches amygdaloïdes à pâte de cornéenne ou devvacke plus ou moins argileuse, plus ou moins calcaire, quelquefois chloritée ou ferrugineuse, et dans tous les cas remplie de noyaux ou allongés de calcaire cristallin, blanc,arrondis rose ou brun (braunspath), noyaux qui dans certaines couches,dont la masse est elle-même plus ou moins calcaire, ne sont autre chose que des entroques
pénétrés de suc spathique. Ce terrain renferme des bancs subordonnés de jaspe schistoïde noir (kieselchiefer) ou rubané (band jaspis), de calcaire argileux pénétré d'oxide rouge de fer; enfin on connaît, dans son épaisseur, jusqu'à cinq de minerai de fer oxidé souvent argileux, bancs quelquefois siliceux ou calcaire (dans les deux preMiers cas passant souvent au jaspe rouge ou au quartz rubigineux (eisenkiesel), et mélangé quelquefois de grenats très-ferrugineux, ou d'anthracite en veinules ou en petits noyaux. Quelquefois une partie de l'épaisseur des bancs est formée (1) Aperçu géognostique des terrains, p. 115, ou Annales
des Mines , tome 4., p. 417.
Stil LE ItARTZ.;
de fer oxidulà et même de la variété aimantaire. Le tout est traversé par de nombreux petits filons calcaires, qui rejettent souvent les bancs de mi-. lierais, et aussi parquelqueselpnecte minerais de
fer 'hydraté ou spathique, trdiginets des gîtes de fer oxidé parallèles aux couches. L'ensemble de ce terrain ferrifère forme un banc très-épais ( de 15o à 200 mètres de puissance ) subordon-
né au terrain de grauwacke et de schiste de la partie occidentale du Hartz , ayant même direction et même inclinaison, et qui constitue sur plus de six lieues de longueur, depuis Osterode jusqu'au Spitzenberg, une zone noil interrompue; criblée d'une multitude d'exploitations de fer. Les filons de plomb argentifère ,tie se trouvent
qu'au nord-ouest ou au mur de cette zone, et semblent se perdre quand ils en approchent. A l'est, ou au toit du terrain ferrifère, la grauvvacke ne renferme plus de gîtes métalliques connus (i). Dans la partie orientale du T-lartz, aux envi-
rons d'Elbingerode et de Hiittenrode , on explouc de même de s,bancs nombreux et Puissans de minerais de fer oxidé et cle fer oxidulé, plus ou moins mélangés de parties 5iliceuses,on
argileuses ou calcaires, et contenant quelquefois aussi pyrites et .apthracite. Ces bancs sont souvent associés à ;des couches de spillite ou _.atnygdaloïde,;asse.zmnalogues à celles de la partie cièçidentale mais moins Abondantes ; le tout (i) Sur la rive droii.p du 1?,,hip.,41ans le py§de pillenbourg , ou exploite des gîtes de --fer wdclé, qui .paraissent
tout àfait analogues à ceux de la partie occidentale du du ,Hartz , dans un terrain de même nature , désigné là sous çlèschaestein,et également subordonné ànne formaton 4e grauwacke et de schiste.
Pee 7jJ1" . iivr.
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