Annales des Mines (1822, série 1, volume 7) [Image 136]

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SUR LA

O. On obtient le charbon en plus grande quantité et de

meilleure qualité L'opération est plus facile à conduire et à surveiller; 3.. Il y a économie de temps pour le chargement et le déchargement du 4°. Le charbon est facile àfourneau ; mêlé ni de terre ni d'aucune recueillir, il n'est les fumerons y sont très-raresautre impureté, et 50 Les appareils sont simples , peu coûteux à établir, et exigent peu (l'entretien

6°. Enfin on a la faculté de recueillir les produits fournis par les vapeurs ou fumées, ou de les négliger pour ne faire que du charbon, qui sera toujours d'excellente qualité.

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DU BOIS.

CARBONISATION

cédé de carbonisation nous venons de décrire et qu'il a pratiqué que pendant long-temps avec succès, a, suries méthodes ordinaires , les avantages suivans

Explication des figures de la Pl. RI. représenté moitié en plan et Fig. Ire. Fourneau souterrain, moitié en élévation, à vue d'oiseau. Fig. 2. Coupe du même fourneau sur deux rayons.fond ; B, A, Moitié du plan au niveau du remblayage du moitié de l'élévation à vue d'oiseau ; C, 'demi-coupe sur

la che-

minée; D, demi-coupe sur les courans d'air; E, remblayage en du fond en terre à potier ; F, bas des courans d'air formésdes brique; G, évents pratiqués dans le terrain pour former des connus d'air; H, caisse en briques et tuyau conducteur le coufumées; I, entourage en brique, sur lequel doit poser vercle.

Fig. 3. Fourneau construit au-dessus du sol, représenté moitié en plan et moitié en élévation, à vue d'oiseau. Fig. 4. Elévation, et fig. 5, coupe du même fourneau sur

la cheminée et les courans d'air. L, Moitié du plan de ce fourneau au niveau du remblayage perche du fond; M, moitié de l'élévation à vue d'oiseau ; N, dépasse plantée en terre pour soutenir la partie de la caisse qui le fourneau : il en faut deux parallèles réunies par une traverse; 0, échelle portative, munie à sa partie supérieure d'un rouleau et destiné à recevoir la corde de triage des paniers à charbon, les parois du en même temps à empêcher qu'en frottant contre fourneau, elle ne les dégrade : cette échelle est un peu inclinée sur le fourneau.

Fig. 6, 7 et 8. Chapeau ou couvercle en tôle ferrée ; a, soupirail pour la mise en feu; b, b, soupiraux pour les pretôle rnières fumées et pour régulariser le feu ; e, manchon en de terre soupirail a, et que l'on garnit qu'on place autour du manchon pareil pour qu'il ferme hermétiquement; d, autre rebord du soub; e, couvercle à anse et à pour les soupiraux f, un des cônes ou bouchons en tôle qu'on introduit pirail la dans les soupiraux b; g, le même cône vu en dessus, avec

petite barre de fer qui le traverse et par ois on le saisit. Fig. g. Main de fer emmanchée, vue de face et de côté; on il remploie pour prendre le charbon dans le fourneau quand dans les à la main, et le mettre est trop chaud pour être pris paniers ; il faut en avoir au moins deux. Fig. Io. Grue montée près du fourneau construit au-dessus du sol, pour soulever et déplacer le chapeau; elle tourne sur