Annales des Mines (1823, série 1, volume 8) [Image 172]

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ANALYSES

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Hydrate de cuivre Cu Ag

Hydrate de fer..

.

0,13o 0,021

0,994

Mais comme il n'est guère vraisemblable que J'hydrate de enivre puisse exister à l'état isolé, phosil me paraît plus probable que le cuivre est le sousphaté mamelonné de Liebethen , phosphate Cu P aVec eau de cristallisation et mêlé ded'un, peu de carbonate de cuivre. Ce phosphate espèce particulière. vrait donc constituer une phosIl n'y a dans les deux variétés de cuivre ni acide arsenique ni acide

phaté de Liebethen muriatique.

de la pyrite 33. Note sur la composition chimique (An. M. J. Berzelius blanche efflorescente; par de Ch., t. X1X, p. 44o). l'une, Il y a deux variétés de pyrite blanche, dans fair; parfaitement cristallisée, se conserve cristallisation tandis que l'autre, qui présente unetombe en une peu, et confuse, effleurit peu-àvitriolique. Ce phénomène poussière évidemment les annonce une différence de composition entre deux variétés. blanche penAyant laissé effleurir une pyrite demi, son volume a presque dant deux ans et elle présenta doublé; vue sous le microscope,remplies d'unune sel masse pleine de petites fentes

être de la effleuri dont les interstices parurent moins bien crispyrite blanche intacte et plus ou tallisée.

était du proto-. J'ai reconni que le sel effleuri neutre, que les parsulfate de fer parfaitement décomposées avaient exacticules de pyrite non le pusulfure tement la même composition que mélangées Fe S4, et que ces matières n'étaient pas

DE SUBSTANCES MINÉRALES.

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de soufre libre. 11 suit de là que la substance qui s'est convertie en sulfate de fer devait être le sulfure Fe S', qui ne s'est pas encore en état isolé dans le règne minéral, etrencontré. que les pyrites efflorescentes ne peuvent être autre chose

que des particules plus ou moins bien cristal-

lisées de F S4 cimentées par des particules bien

moins nombreuses de Fe S', lesquelles se convertissent peu-à-peu aux dépens de l'air humide en sulfate Fe S. _dncilyse du fer phosphaté de

par M. Stromeyer.

Protoxide de fer...

.

Acide phosphorique. Eau

. .

Cornouailles ;

0,4123 0,3118 o 2748

0,9989

Ce résultat prouve que le fer phosphaté de Cornouailles est identique avec le fer phosphaté d'Eclietzberg analysé par Klaproth. dinalyse de l'eisenpecherz de Stollengange près Freyberg ; par M. Stromeyer. Klaproth avait trouvé dans ce minéral

Oxide de fer. Acide sulfurique. Eau.

0,67 o,o8 0,25

M. Haüy l'avait rangé parmi les variétés de fer oxidé,, sous le nom de fer aride résinite ; il est réellement composé de: Oxide de fer.. . . Oxide dc manganèse . Acide arsenique. . . Acide sulfurique Eau

Tome rm. 2e. livr.

.

0,3310 o,0064 0,2606 0,1004 0,2926 0,99

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