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ExriauEricEs
nous n'en avons pris que deux, dans lesquelles tous les facteurs, excepté un,étaient les mêmes; ce qui nous a donné deux équations de la forme cidessus , -au moyen desquelles on a éliminé la
constante et les facteurs, qui étaient les mêmes, et ensuite déterminé l'exposant du facteur restant. Nous avons ainsi obtenu 8 à 10 valeurs du même exposant, dont nous avons pris la moyenne. C'est ainsi que nous sommes parvenus à l'équation suivante CS cl) =CSh °,4 cl '(1.1 14 (FI h o'4
Analyse de la formule.
Cette formule- nous indique que le degré du pèse-vent est la chose qui influe le plus sur le
rapport R. Ce rapport est proportionnel à la puissance 1,2 de cl. Vient ensuite S, qui entre dans la formule comme facteur à la première
puissance ; puis H et enfin» h qui y entre à la puissance o,4. Détermination de C.
Nous avons ensuite déterminé pour plusieurs expériences -de. la trompe de Guille ( thbleaux A et B) les valeurs de C. Elles ont varié entre .647 et 548. La moyenne a été de 602, avec des anomalies de au plus en dessus et en dessous (1). Pour la Vexanelle tableau C , les valeurs de faut excepter les expériences faites avec l'ouverture entière du burle pris pour canon du bouree. Le -pèsevent ayant été placé sur l'homme, dont la sectionde.Pouverture n'est guère plus grande que celle du burle, ne pouvait indiquer qu'une partie de la pression de l'air de :la trompe. 11 n'en était pas de même pour les expériences faites avec une ouverture du canon du bourec beaucoup plus petite que celle de l'homme, parce que l'air passait -alors lentement dans l'h.omme qui faisait ainsi réservoir
SUR -LES, TROMPES.
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-C ont varié entre 552 et 712 , la moyenne a été de 65o avec des anomalies de au plus en dessus ou en dessous. Pour Lapratd ( tableau D), les valeurs de C ont -varié entre 428 et 5i3, la moyenne a été de 475, avec des anomalies de ,17,- au plus en dessus ou en dessous. Pour la trompe de la forge Neuve ( tableau F
les valeurs de C ont varié de 64r à 599, la
moyenne est de 620. La valeur de C n'est donc pas constante pour les différentes trompes ; elle varie même pour une même trompe : car la trompe de Guille ayant
été étoupée pour boucher les pertes de vent, avant les expériences du tableau E, eu a beaucoup été ameliorée , et la valeur de C a été de
partie, expériences faites ir6o ( 2e. série de la avec le même étranguillon que celles des tableaux
A et B). Les plus grandes valeurs de C indiquent les machines les mieux exécutées, celles sur-tout qui - perdent le moins de vent. Les rapports entre ces
valeurs donnent même les rapports entre les
bontés de ces machines. Après avoir déterminé la formule ci-dessus Dimenstous étranil ne nous restait plus qu'a savoir entre quelles c17 gla ions. limites on pouvait faire varier les dimensions de l'étranguillon par rapport à celles de l'arbre, et la somme des ouvertures des soupiraux par rapport à celle du canon du bourecie tableau E nous indique que la section de l'ouverture de l'étranguillon peut varier de *1. à + de celle de l'arbre, sans différence notable dans les résultats ( i. et 2e. partie des expériences). Le tableau E, ire. partie, i série, nous indique que la somme des ou' Nertures des soupiraux étant les 3o,9 de telle du