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SUR LA STABILIT1l
les conditions que cette équation énonce à celles verges pede l'équilibre d'un système de quatreabsolument santes, assemblées à articulation, emploie mainteidentique avec celui qu'on après, en i8o9 , le nant (i ) Quelques années Gauthey, fu t publié et enTraité_des ponts, de M.
par richi de savantes. .et intéressantes notes le médont le talent et M. Navier, sonr neveu, A cette rite sont bien connus de l'Académie. époque, M. Boistard avait fait ses expériences. la et la détermination du joint de rupture par
le mocondition du maximum du rapport entre les piedsment de la force qui tend à renverser tendance droits, et celui de la force qui a ùue
- MM. Boiscontralire était publiquement connu adopté
tard et Navier l'ont constamment voûtes. dans leurs recherche S snr la stabilité des de Eu 1820 parut dans le il'. 4 du Mémorial M. Aul'officier du génie,, un beau: mémoire de dans lecorps , dry, chef de bataillon du même de détail les quel cet officier traite avec beaucoup mécanique des à,la diverses questions relatives premier parait avoir le voûtes : c'est lui qui nous déterm i ne, ramené la condition .d'après laquelle on plus simples le point de rupture à1 des termes maximum du dépendre, non du
en la faisant
79 - il ) Cette équation estfla première de l'article i; dans la signification des lettres faut faire attention, en lisant le mot parement intérieur, la colonne de notation, que par d'un pont, se trouve on entend le parement qui, à la culée dont l'arrête est celle du côté des terres, et mémoire et leinférieure le non) rapport par qu'on a désignée dans le fixe de d'arrête extérieure de la base du pied-droit ou axe rotation.'
DES YOUTES.
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rapport entre deux momms de forces, mais du maximum d'un des termes de la somme de ces momens , ainsi que nous l'avons expliqué précédemment, lorsque nous avons dit que MM. La-
iné. et Clapeyron avaient introduit dans leur analyse cette même simplification. On voi4par ce qui précède, que ces deuxjeunes ingénieurs -ont été devancés dans la découverte des bases fondamentales .de la théorie exposée dans leur mémoire; nous ne pensons pas cependant qu'on doive en conclure que le contenu de
ce mémoire n'est pas tiré de leur propre fonds. Lorsqu'ils sont sortis de France , ils avaient à peine fini leurs études d'ingénieurs; ils n'ont pas dû connaître avant leur départ des traités qui sont à l'usage exclusif de quelques irigénieurs et architectes. Le mémoire de M. Au dry n'était pas
encore publié, et- ces diverses productions se rencontrent bien plus rarement en Russie qu'en France.
Nous devons ajouter qu'abstraction faite du mérite de l'invention pour ce :qui est relatif aux bases de théorie générale., leur travail n'en est pas inqins cligne d'éloges sur plusieurs objets de détail ; la construction géométrique du point de rupture, les problèmes résolus dans le supplément du mémoire , offrent des résultats curieux et nouveaux. La marche de l'analyse con-
cernant deux .espèces de voûtes est conduite avec adresse et élégance. L'application qu'ils ont faite aux voûtes en dôme , des formules établies
pour les voûtes en berceau, quoique augmentant les chances d'incertitudes dans les résultats,
offre des moyens de vérification qui ne sont