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CHIMIE.' cholz, donne sa pesanteur spécifique égale à 2,72, en divisant par 3 le poids d'atome qui en résulte.
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Dans l'épidote, une partie de la 'chaux est remplacée par le protoxide de fer : j'ai désigné cela par le troisième membre de la formule. Cette formule a été calculée d'après l'analyse de M. Strohmeyer, qui s'accorde aussi avec celle de M. Gmelin.
a. Sur la Contraction produite par la chaleur dans les cristaux. (An. de Ch., t. XXVI, p. 222.) M. Mitscherlich a observé que l'inclinaison mu-
EXTRAITS DE JOURNAUX.
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doit produire une contraction sensible dans la direction de son axe.
3. Sur la direction des axes de double reaction dans les cristaux. (AI). de Ch., t. XXVI, p. 223.) On. sait que les axes optiques des cristaux improprement appelés cristaux à deux axes ne coïncident point avec les axes de cristallisation; mais
on avait regardé jusqu'à présent comme une règle générale que les ..droites qui divisent en deux parties égales l'angle compris entre ces
manière sensible par l'effet de la chaleur, et qu'entre o° et 1000 le changement des angles dièdres aux extrémités de l'axe du rhomboïde était ,de 8' 2;. Il résulte-de là qu'en supposant nulle la dilatation du Cristal perpendiculaire-
axes optiques (levaient être également inclinées sur les faces correspondantes du cristal. M. Milscherlieh.a,re,connu que ces lignes de symétrie par rapport 'Ztyla double réfraction neLl'étaient pas toujours relativement aUxfaces du cristal, et que, dans quelques sels, tels que le sulfate dc,magnésie , elles s'inclinaient plus d'un côté quë .de l'autre, sans qu'un défaut .de symétrie dans les formes cristallines pût faire soupçonner d'avance une pareille -déviation.
trouvé qu'elle était au .contraire inférieure à celle du verre; ce qui conduit à cette consé-
Tt. MouveMent du mercure produit par un eourant électrique; par M. Herschel. ( An. o('Phil. 1824, p. 555. ) Si l'on met en action une pile voltaïque,..d'une
tuelle des faces du spath d'Islande variait d'une
ment à son axe, sa dilatation cubique surpasserait encore celle du verre à-peu près de moitié or, en mesurant la dilatation cubique du spath (l'Islande avec M. .Dulong, M. Mitscherlich a quence singulière que,-tandis que la chaleur dilate le cristal parallèlement à son axe, elle doit rapprocher ses molécules dans les directions perpendiculaires. C'est aussi ce dont Mitscherlich s'est assuré eninesurant avec un sphéromètre, à différentes températures, l'épaisseur d'une plaque de spath d'Islande taillée parallèlement à l'axe.
II est très-probable que le sulfate de chaux
doit présenter un phénomène analogue, mais inverse, c'est-à-dire que l'élévation de température
énergie modérée, de 8 à Io pouces de:
par exemple, qu'on place du mercure dans une soucoupe, et qu'on le recouvre d'un liquide conducteur, à travers lequel on transmette le courant électrique, par des fils, non en contact avec le mercure ce métal prend un. mouvement de rotation, dont la force et la direction varient suivant la nature du liquide, l'intensité de l'action électrique et les autres circonstances acciden-