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MINERAIS DU CORNOUAILLE'?.
l'eau abandonne dans les labyrinthes qu'elle est obligée de traverser en s'écoulant. Le sable est lavé directement dans des caisses de la forme de celles décrites ( 5 49), en parlant du lavage des minerais d'étain. Les schlamms déposés, soit par les eaux qui s'écoulent du bocard., soit par celles qui ont servi aux diverses opérations de lavage, ainsi que les matières analogues obtenues dans quelques-unes de ces opérations, sont d'abord débourbés dans des caisses à deux compartimens beaucoup plus courtes et plus étroites que les précédentes , et de l'espèce de celles décrites (5 ), et lavés ensuite dans les caisses ci-dessus. § 92. En récapitulant les diverses opérations Récapitulation des que nous venons de faire connaître, on voit que différentes -tout le minerai extrait des mines se trouve divisé sortes de en six portions; savoir, minerais. Minerai massif A, cassé à la batte § 83) ; 2°. Minerai donné par le criblage( §§ 87 et 89); 39. Minerai plus fin encore, retiré des cuves. de criblage ( § go ); 4'). Minerai de bocard , lavé directement dans les grandes caisses ( § 91); 5°. Minerai extrait des schlamms par le débourbage dans les petites caisses étroites et le lavage dans les grandes ( 591 ) 6'). Enfin, parties pierreuses rejetées à. différens états de division, et nécessairement mélangées d'un peu de minerai perdu. Les minerais de cuivre extraits des mines des autres parties des nes Britanniques subissent àpeu-près la même préparation mécanique que ceux tirés des mines du Cornouailles et du De(La suite à la prochaine livraison.) vonshire.
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DE LA NOTICE GÉOGNOSTIQUE SUR QUELQUES PARTIES DE LA BOURGOGNE;
Par M. DE BONNARD, Inspecteur divisionnaire an Corps royal des Mines.
TROISIÈME PARTIE.
Terrains supérieurs au calcaire à gryphites.
- 'COnsidérés dans leur ensemble ou clans leur Passage des
partie supérieure, .ou même dans certaines cou- terrains inelles seulement de leur partie inférieure, les ter- feriet,11:s atnc rains calcaires dont il me reste à parler se dis- supenems. tinguent bien du terrain de calcaire à gryphites ; mais il n'en est pas de même, si l'on observe les couches immédiatement superposées à ce dernier, ou si l'on compare entre elles, en général, les couches marneuses situées au-dessous et audessus du niveau qu'on croit devoir adopter pour ligne de séparation des deux formations : on reconnaît alors, en effet, une telle conformité et des passages si insensibles, qu'on ne sait on placer la limite, et qu'on est tenté de regarder le tout comme appartenant à une formation unique. Mais une difficulté semblable se présente presque constamment quand on étudie la succession de terrains formés de roches de même