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SUR LE MOUVEMENT
DE L'EAU.
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compter encore quelques-unes de Venturi. ( Re2aV g Vh:
Dans les deux premiers tableaux (0, on a réuni les expériences de Bossut et de Michelotti pour des ouvertures dans des parois minces, et l'on a calculé , dans la dernière colonne verticale, par
la formule précédente, la valeur du coefficient, en posant g 18r, t 76 pouces de Paris, parce rapportent à cette que toutes les dimensions se mesure. Si l'on prend une valeur moyenne des différentes valeurs trouvées pour p., on peut supposer, avec une précision suffisante dans les cas oro,619 , et par conséquent dinaires, que o,38516. Ces expériences prouvent encore
qu'on peut considérer sans erreur sensible
comme une constante , quoiqu'il soit probable el qu'il soit justifié par les expériences faites par le même observateur, que 12 dépend tellement de la hauteur de pression, du contour et de la section de l'ouverture d'écoulement, que, dans des circonstances d'ailleurs égales , de-
cherches expérimentales sur le principe de la communication latérale. A Paris, 1797. L) Le troisième tableau contient ces expériences réunies. Il faut remarquer que les ajutages dont se servait Michelotti avaient pour sections
des carrés de 3 pouces de côté, et que ceux de Bossut et de Venturi étaient cyl indriques.La dernière
colonne contient les valeurs de ; toutes les dimensions se rapportent, comme précédemment, au pouce de Paris. Ces expériences donnent, comme valeur moyenne de /2 , dans de petits ajutages prismatiques, o,i25 donc /2 = 0,66o156
on doit faire ici sur les Coefficiens de contraction les mêmes remarques que clans le cas des parois minces. §
Supposons qu'au bas du réservoir- d une largeur constante ABCD (fig. 4 ), se trouve un tuyau cylindrique DEF, et que le niveau AB reste
vient d'autant plus grand, que la section de
constant par une affluence continuelle. Soit la section du réservoir = A, son contour P, la hauteur AE= L ; la section du tuyau = a, son
manque-t-on d'expériences assez précises et assez
nombreuses pour déterminer plus exactement
hauteur totale de pression F G h , et la vitesse avec laquelle l'eau s'écoule d'une manière invariable en F = e , nous aurons, d'après § VII parce qu'il n'y a pas de contraction en F, et que
cette dépendance.
par conséquent y-
l'ouverture croît et que son contour et la hauteur de pression décroissent. Mais cette variabilité est si peu considérable, que nous la négligerons dans nos calculs : aussi
Bossut et Michelotti ont également fait des expériences très-estimées sur l'écoulement par de petits ajutages , parmi lesquelles on peut Voyez les tableaux joins à, ce mémoire, p. 458.
contour = p, la longueur du tuyau = 1; la
E
--1Q'
et F = -- -4-
t2A.'
(i) Voyez aussi le Traité des Machines , de M. Hachette, édition 1819, pages 66-86.
Tome XI, 6e. livr.
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