Annales des Mines (1825, série 1, volume 11) [Image 246]

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Lia?.

.stat; LA .LIQUATIO,N,

Oxide deplomb Protoxide de cuivre.. . Protoxide de fer Chaux.

9;48..

Magnésie .

Alumine. .

. .

111111MMIIIIMMNIMIN

.

Silice

,

0,056 0,031 0,009

0,998.

0,129 0 409

On refond ces scories avec o,o8 de chaux flua tee, 6,02 de minerai de. fer et o,o8 de scories d'affinagedufer, et les nouvelles scories, qui: 'ne coniennerit plus que:, 0,0412 d'oxide ,de,, plomb ,

et 0,0918 d'oxide de cuivre,

sont rejetées. Deux fontes suffisent, a Neustadt parce qu'on se sert de Coak pour Conihustible;'mais dans les usines où l'on emploie le 'charbon de bois, il faut

SUR l'action qui a lieu entre le plomb et foxide de cuivre, et entre le cuivre et roxide de plomb; par M. P. BERTHIER .

J'AI recherché, comme M. Karsten , par expirience directe, quelle est l'action réciproque du plomb et de l'oxide de cuivre, ainsi que celle du

cuivre et de l'oxide de plomb.Comme les résultats

que j'ai obtenus diffèrent de ceux qui sont annoncés par ce savant, je crois utile de les consigner ici. Plomb métallique et deutoxide de cuivre. J'ai opéré sur les mélanges .suivans

Plomb mé-

i

2

4

3

5 tanique. mt.25g,gtat. 26g,9Iat.25g,9rat. f,38 g,8-2at. 51 g ,S

traiter les scories quatrer fois et même davantage, pour les dépouiller du plomb et du cuivre

Deutoxide de euiv..

qu'elles contiennent. -L'addition des minerais de fer et des scories de fer dès la prerniere réduction faciliterait évidemment beaucoup là séparation du cuivre et du plomb. Au lieu -de réduire les matières oxidées pour liquater ensuite l'alliage, il serait beaucoup plus avantageux de s'en servir pour rafraîchir le cui-

Tous ont donné un alliage imparfait de cuivre et de plomb et une scorie extrêmement fusible composée d'oxide de plomb et de protoxide de cuivre. Si l'on fond rapidement, et si l'on évite avec soin l'introduction de l'air ou des vapeurs charbonneuses dans les creusets, il suffit de prendre exactement le poids du culot métallique pour déterminer par calcul la composition

vre argentifère, ainsi qu'on l'a déjà fait avec succès dans quelques usines. On ne traiterait séparément que les crasses du raffinage du cuivre et les scories du rafralchissage. Lorsqu'on sépare l'argent du cuivre noir par une seule liquation, on consomme, dans tout le travail , 32 à 55 livres de plomb, et il se perd 5

à 6 livres de cuivre par ioo de cuivre noir.

Ço.iiiine il se produit 15o livres de, seories de tebut,.qui contiennent 5,75 de plornb,:et:0,25 de cuivre , il se perd , par les manipulatioex etc 26,25 de plomb et 4,75 de cuivre.

2

19g,8-1 45g,7

14g,9-1

9g,9.

4og,8

35g,8

9 ,9-1 48g,7

de la scorie. Erî'. effet; appelant S le poids de la

scorie, poids que -l'on a par différence , 0 la quantité d'oxigene contenue dans la scorie, quan-

tité qui est celle que renferme le deutoxide de

cuivre employé', P le poids de l'oxide de plomb, et C le poids du protoxide de cuivre que contient PX 717 Cx1x2 la scorie, on a P s et 0, 10,000

d'où on tire C.=

OC 10,000 )

403

10,000

717 S

31.