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M. Weiss remercie infiniment M. Gillet-Laumont de la bonté avec laquelle il lui offre de vouloir bien garder chez lui les minéraux qu'il va laisser à Paris jusqu'à son retour. En vérité, cette bonté est si grande qu'il prend la résolution dans ce moment d'en profiter quoiqu'il [fut/est] déjà convenu avec son hôte de laisser à celui-ci les effets qu'il ne veut pas emporter avec lui. Il prie donc Monsieur Gillet Laumont de lui garder une malle et quelques minéraux qu'il mettra probablement dans une petite caisse à part. Dans ce moment il ne lui renvoie que l'échantillon de la laumonite [Laumontite] qu'il a bien voulu lui donner et qu'il veut avec autant de bonté encore mieux défendre contre la décomposition. Aussitôt qu'il aura emballé les autres objets, il lui demande la permission de les lui remettre. Le fera ce soir, si cela convient à Monsieur Gillet Laumont. Il apprend qu'il ne trouvera Mr. Gillet Laumont que jusqu'à quatre heures, mais il espère que s'il lui ne sera pas possible d'envoier le tout avant quatre heures, Mr. Gillet Laumont les prendra en dépôt lundi quand il reviendra en ville, et qu'il n'y aura aucune difficulté de les laisser cependant sous la garde de l'homme de peine qui veut se charger du transport aussi. M. Weiss ne regrette que de ne pouvoir pas espérer d'exprimer encore de bouche avant son départ à Monsieur