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FOURNEAUX FUMIVORES.
latérale; lafig. 3, une section de la grille sur sa largeur, dessinée sur une plus grande échelle. Les mêmes lettres indiquent les mêmes objets dans ces figures.
a, chaudière; b, foyer ; c, trémie alimentaire da charbon , recouverte d'un volet d, et munie au fond d'une trappe à bascule armée d'un levier à contre-poids e, qu'on lève chaque fois qu'on fait passer une nouvelle quantité de combustible sur la grille ; f, ringard à palette, à l'aide duquel le charbon est poussé au fond de la grille ; h, mortaise pratiquée au bas de la porte du foyer, à travers laquelle passe la tige du ringard ; g, trou percé dans la porte pour observer l'état du feu; il est recouvert par une petite plaque mobile ; ii, boîte ou réservoir antérieur fermé à
.
l'air extérieur, et communiquant avec l'intérieur de la grille ; h, canal formé dans les barreaux : on voit plus distinctement leur forme dans la coupe,
fig. 3; 1, canal ménagé derrière la cloison de l'âtre, et à travers lequel passe l'air, qui refoule la fumée sur les charbons incandescens ; gistre pour l'admission de l'air dans la boîte 772
DES
COMBUSTIBLES MINÉRAUX, ETC. D'APRÈS UN OUVRAGE ALLEMAND DE M. KARSTEN. EXTRAIT
PAR A. M. HÉRON DE VILLEFOSSE Conseiller d'État , Inspecteur divisionnaire au Corps royal des Mines de France , Membre da l'Académie royale des Sciences, etc. Lu à l'Académie, le 14 août 1826.
L'ACADÉMIE m'a chargé de lui rendre compte
d'un ouvrage allemand de M. Karsten , Mem-
bre du Conseil général des Mines dans le
Royaume de Prusse, et de l'Académie royale des sciences de Berlin, etc. Cet ouvrage a pour titre Untersuchungen über die Kohli gen Substanzen des
Mineralreichs überhaupt, und über die ZusanzM ensetzung der in der Preussischen Monarchie vodoinnzen den Steinhohlen in' sbesondere (Berlin;
1826, volume in-8°. de 2 44 pages ) , ce qui veut dire : Recherches sur les substances charbonneuses du règne minéial , et particulièrement sur la com-
position des houilles que présentent les mines de la Monarchie Prussienne.
A l'époque où nous vivons, lorsque chaque jour la pratique des arts sollicite et met à profit le secours des sciences, il est sans doute intéres-