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266 ANALYSES 2.2.11S'--Filidg', qui correspond aux nombres suivans Silice
0,393
0,470 .}0,732.
Alumine. . Alumine. Eau. . . .
.
0,131 0,13,7
} 0,268.
Si ce minéral venait à se rencontrer en quantité considérable, on pourrait l'employer avec grand avantage pour fabriquer de l'alun ou du sulfate simple d'alumine. 27. Analyse de la CORDIÉRITE d' Arendal en Norvège; parM. Laugier. (Bull. phyl., 1826, p. 43.)
La cordiérite ( dichroïte ou iolithe) de Nor -
wège est d'une transparence parfaite et d'un
bleu violâtre : sa poussière a une nuance lilas qui ne change pas par la calcination. Son analyse a donné le résultat suivant, que l'on présente comparativement à celui que N. Glnelin a obtenu de l'iolithe du cap de Gate. Silice.
Alumine. ...... Magnésie
cordiérite. 0144°
0,50o 0,100 0,152
iolithe.
DE SUBSTANCES MINÉRALES.
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n8. Description de PÉDINGTONITE; par M. W.
(linger. ( El. J. of. sc., 1825, p. 316.) La forme fondamentale de Pédingtoniteest tin octaèdre à triangles isocèles de 1210,40' et 870 19' : ce minéral est vitreux , demi-transparent (l'un blanc grisâtre ; sa cassure est imparfaitement conchoïde ; sa pesanteur spécifique est de 2,71. Il se rencontre en très-petits cristaux dans les cavités de quelques morceaux de thomsonite des environs de Glascow et de Dumbarton ; ces cristaux sont accompagnés de spath calcaire et d'harmotome. Au chalumeau , Pédingtonite devient blanche
et opaque, perd de l'eau et se fond en un verre incolore ; elle est complètement attaquable par les acides. Le Dr. Turner y a trouvé Silice
Alumine Chaux
Eau. .
.
0,5500 0,2769 0 1268 0,1352
0,8878.
La perte est probablement due à de IM cali.
0,426 01344
o,o58
Protoxide de fer Prot. de manganèse. 0,c:a trace. Chaux. 0,006 Eau
0,150 0,017 0,017 0,000
0,986
1,012.
Ces deux minéraux sont évidemment identiques : leur constitution est telle, que la silice renferme la même quantité d'oxigène que toutes les bases réunies.
29. Sur rÉPISTILBITE ; par le Dr. G. Rose. (Ed. J. of SC., 1826, p. 285.) L'épistilbite a beaucoup d'analogie avec la stil-
bite et l'heulandite ; mais les angles de l'épistil-
bite et ceux de la stilbite sont incompatibles, quoique le système cristallin soit le même, et l'é-
pistilbite et Pheulandite appartiennent à deux systèmes différens.
La forme fondamentale de cette nouvelle espèce est un octaèdre rhomboïdal , dont les trois côtés sont entre eux dans le rapport de V2,022 .V11,886 : I . La forme la plus ordinairè sous la-