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( 1 2 l i3 ( ) n” CARRIÈRES. de Dans les localités où il existe de grandes rières , des actes de haute administration mesures que commande l’intérêt de la sûreté Une ordonnance royale, rendue en carrières de la Haute-Marne; et celle exploitations prescrivent de car- et de la la population Seine, de Seine—et—Oise capitale et l’importance de les sur ces trois üdépartements expliquent assez le développement considérable que l’exploitation des carrières y a pris. Dans le département de la la consolidation des anciennes Seine, carrières qui s’étendent sous Paris et la banlieue a continué d’être l’objet d’une sollicitude éclairée, tant de la part du conseil munici- de la ville de Paris que de la pal part des ingénieurs des mines. En 1839, des travaux d’une exécution difficile ont été pratiqués sous le n du collége Rollin, le et le Muséum d’histoire Luxembourg naturelle. A la deman e des des fonds ingénieurs, Instruction des demandes existait antérieurement concentrée départementale 11° ‘2 (grande route C HAPITBE I II. les départements Seine—et—Marne. Le voisinage de. de la route USINES ET SALINES. pour le département de Loir-et-Cber a reçu d’utiles modifications le courant de cette même année. Il dans en résulte la fin de qu’à 1839 des règlements généraux avaient été rendus pour l’exploita- tion des carrières situées dans les départements de l’Aisne, des Ar- dennes, du Calvados, de la Charcute, de la de Charente-Inférieure, la Dordogne, du Finistère, de Loir-et—Cher, de Maine—et—Loire, de la Haute-Marne, de l’Oise, de l’Orne, de Saône-et—Loire , de la Seine, de Seine—et—Marne , de Seine-et—Oise, des Deux-Sèvres et de la Vienne. Au nombre des départements où le service des carrières a été le plus actif, on doit principalement citer les Ardennes, la Gironde, Maine—et—Loire, la Mayenne, la et surtout .Sarthe, la et sous toutes les publique. 1839, régit aujourd’hui qui 7, 19 et 20, Passy). spéciaux ont été accordés pour la consolidation des portions de routes royales et dé— partementales qui sont comprises dans le département de la Seine. Les travaux ont déjà été commencés on repris sous les routes royales en permission. L’instruction des demandes relatives à des usines a été suivie avec zèle et activité. Sans entrer dans le détail des formalités qu’elle a en- traînées, il suffit de rappeler ici que les ont eu à donner ingénieurs leur avis Sur l’opportunité de ces sur les contestations demandes, qu’elles ont provoquées, sur les conditions qu’il convenait d’imposer aux permissionnaires, etc., etc. Soixante-quatre ordonnances royales ont statué sur des affaires d’usines dans le courant de l’année 1839. Surveillance des usines. Les renseignements que les ingénieurs ont recueillis, dans leurs tournées, sur les usines, les ont mis à même de fournir à l’admi— nistration des tableaux détaillés ont servi à la rédaction du tra—' qui vail statistique annexé au présent compte rendu. Au moyen de la connaissance qu’ils ont acquise de leurs arron- dissements les ingénieurs ont éclairer les conseils généraux sur pu ' , l’état de l’industrie minérale dans les départements, sur les circons— tances qui en arrêtent l’essor, et sur les mesures qui en favorise- raient le développement. Ardennes.———— La carbonisation du bois recherches. Do-ubs.—— L’ingénieur du aux ordres de en fofla été l’objet d’utiles département a entrepris, conformément l’administration, d’intéressantes expériences sur les