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DANS LES USINES DE EREYBERG.
TRAITEMENT DES MINÉltAIS pieds. pouc.
Largeur à l'entrée du canal qui conduit à la cheminée Hauteur de la voûte au-dessus de la sole fi-peu-près dans toute l'étendue du plan vertical, mené suivant l'axe de la trémie parallèlement aux faces antérieures et postérieures Hauteur de la voûte au-dessus de la sole
f
chaleur, afin de favoriser le grillage, et à mêler avec le sulfure non grillé les parties de sulfate qui se seraient formées, pour les amener à l'état d'oxide. Il retourne trois fois le minéral., portant vers l'autel ce qui était près de la chemi-
mètres.
m ,465
5
4
à chacun des p oints de surbaissement.
Hauteur à demi - distance des points
née, et vice versa, une fois au moment où le
o ,39t o
schlich est rouge, environ une heure trois quarts
,3o5
auxquels ont été prises les deux hauteurs précédentes o ,454 7 Hauteur de l'ouverture qui sert d'issue à la flamme se rendant dans la.cheminée de 8 à q poile. de om, x95 à om,219.
La coupe de la voûte au-dessus du pont présente la figure d'un arc de cercle d'un rayon trèsgrand : la hauteur de la voûte au-dessus du
pont est d'environ 7 ;- pouces aux deux extrémités et 9 pouces au milieu. Hauteur du pont au-dessus de la sole
--- au-dessus de la grille
Épaisseur du pont Longueur dela grille Largeur Ecartement des barreaux Hauteur de la porte de la grille Largeur
» p. 7 p°. ,f46
u »
6
o
9
5 i
6
o ,220 / ,61/
s
» s
s
s
s
o ,317 o ,006/ o ,317 o ,317
On grille à-la-fois quatre -quintaux et demi ( 2q .m.,22 ) de schlichs.
- mobile de
265
L'opération a lieu de la manière suivante : on
'opération. commence par donnerun feu gradué, quel on augmente tant que la grille n'est pas couverte de
jusqu'à la hautenr du pont et que le cornbustible
schlich n'est pas rouge. L'époque d e la plus grande chaleur arrive environ une heure et demie ou une
heure trois quarts après le commencement de l'opération. Dès ce moment, on laisse tomber le feu. Le Travail de l'ouvrier se borne à présenter toutes les parties du schlich à l'action de la
après le commencement de l'opération, une seconde fois environ une heure plus tard, et
une troisième fois, vers la fin de l'opération, demi-heure ou trois quarts d'heure après. A partir du moment où le schlich est rouge, le grillage se continue de lui-même par la combustion du soufre. Il importe sur-tout alors de faire arriver de l'air frais pour favoriser cette combustion,
C'est pour cela que l'ouvrier ouvre la porte de la grille, et même quelquefois attire Je combustible sur le devant, afin que toute la partie postérieure soit découverte. Les premières vapeurs qui se dégagent sont des vapeurs d'eau à celles-ci paraissent succéder des vapeurs de soufre provenant de la décomposition des persefures, vapeurs qui, probablement, sont de suite converties en acide sulfureux; viennent ensuite des vapeurs d'acides sulfureux et arsénieux, et peut-être, à la fin de l'opération, des vapeurs d'acide sulfureux seulement.
Pour nous faire une juste idée des change- Théorie du des mens qu'éprouve le minéral dans le grillage, grillage schlichs. commençons par nous rappeler la composition des schlichs : c'est, dans le cas le plus général, un mélange de sulfure, arséniure et antimoniure d'argent, sulfure de cuivre, sulfure de fer, sulfure de zinc, nickel arsénical, cobalt arsén cal, chaux, magnésie, silice. On peut le considérer