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AU CHARBON DE BOIS.
SUBSTITUTION DU Com,
Essais de
On a essayé de supprimer entièrement les pys""ression rites. En comparant les résultats de la fonte crue des pyrites.
sans addition et ceux de la fonte avec 5o p. de pyrites, on voit que, dans le premier cas, 49., On peut passer beaucoup plus de schlichs en un même temps, et que, par conséquent, trouve économie de pyrites ,de combustible et de main- d'oeuvre .
. On obtient de suite une matte plus concedtrée , qui exige moins de grillages. Mais d'un autre côté la fonte de plomb avec ces mattes riches a très-mal marché, ainsi que la coupellation du plomb d'oeuvre qui est résulté de leur emploi. 10. La perte d'argent a été plus considérable ; 20. Le plomb d'oeuvre a été plus impur ; 3°. La matte de plomb a retenu beaucoup de
plomb ; 4.. La quantité de minerai passée en un certain
temps a été peu considérable ; 5°. Enfin, le plomb d'oeuvre a été très-difficile à coupeller; les litharges ont été très-impures et il s'est formé des trous clans la coupelle. On a attribué ces fâcheux résultats à ce que la matte crue contenait trop peu de fer et trop d'arsenic. Il faudrait ajouter qu'elle renfermait aussi trop peu de soufre. En effet, d'après la théorie que nous avons donnée de la fonte de plomb, l'impureté du plomb, d'oeuvre et la perte d'argent sont des conséquences nécessaires de ce que le fer, qui agit en même temps comme réductif et comme scorificateur, n'est plus en suffisante quantité; de ce que le soufre qui sert à retenir dans la matte différens métaux, qui sans cela passeraient dans le plomb d'oeuvre ou dans la
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scorie, vient à, manquer ; et enfin, de ce que l'arsenic prédomine. Expériences M. de Herder, supposant que le faible contenu ayant pour en métal précieux des scories (le la fonte crue but de tire, tenait plutôt k tin mélange mécanique de matte parti des qu'à une combinaison des oxides, chargea M. Lam- scories de
padius d'en faire l'analyse, en employant en même
fonte E
"". atd
temps la séparation mécanique et la séparation Supplémentxtri chimique :: en conséquence on bocarda i l'eau 1 a liétalet on lava I 1363 quintaux de ces scories et on lurgie de 1%I:
'
obtint 394 -1 quintaux d'un schlich brillant , peu Lampadius
métallique, auquel on a donné le nom de minérai publié' des scories (schladerierz) D'après M. Lampa- '826,' dius, t000 parties de ce schlich renferment : 310,50e 5,10o 598,57. Silice Oxide de fer. 99,000 55,000 parties avec 90,711 Arsenic. . . 5,000 °Lien, Alumine . Argent.. . o,85o don- Chaux .. . . . 65,000 Plomb... . 8x,Sio nant Magnésie . . 42,54o . . Cuivre. . . 4,000 rdieesssrla- Baryte. . . . 5,000 fusion. Or. Antimoine 240,000 Fer 993,55i Bismuth.. traces. 6,489 PeAte, idem. 1000,000 Zinc .
.
. .
parties Soufre..
. .
394,360
sans (nigelle
donnant uniquement de la matte à la fusion
Ce minerai des scories a été soumis à trois expériences métallurgiques 1°. On a passé environ 200 quintaux de schlich non grillé avec 35o quintaux de scories de plomb, quintal de pyrites, et t quintaux de litharges
on a obtenu environ 13 quintaux de plomb d'oeuvre. et 35 quintaux de matte crue. 2Q. On a passé environ 200 quintaux de schl ich
grillé au four à reverbère, avec i quintal de pyrites,48 quintaux de litharges et 290 quintaux de scories de plomb : on a obtenu environ o quin-