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tu) des‘causes des accidents constatés l'égard A qu’il suit en 1850, elles : répartissent se ainsi ’ ( LKI dangereuse j ou conduite avec moins de que l’exploitation y plus précautions que dans telle autre, où les accidents seraient moins nombreux. Le nombre des accidents doit être, en elÎet, en rapport non—seulement avec les circonstances de et est le mode de travail, mais aussi avec le nombre des mines lieu, avec le nombre des ouvriers employés et avec la avec BLESSÉS. TOTAL. Pots 100. mais Éboulements . . . . Explosions Coups de gaz de mines . Asphyxies . . . Inondations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ruptures d‘engins, câbles, . . . . . . . . . . . . etc Chutes des ouvriers dans les . . . . . . . . . . . . . . . puits Toncx . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . produits extraits; danger que présentent telles ou telles exploitations de mines. Par exemple, les mines de houille qui ont été dans pour exploitées 29 départements, où il a été constaté 512 cas de mort ou de blessures, 154 appartiennent au dé— allèrent . dans le même cumpte, dans une certaine mesure, de ces divers éléments, on peut conclure, avec un certain degré de vraisemblance, les chances compara- du au Nord, 77 partement Gard, [17 à Saône—et—Loire . des tenant en tives de et ouvertes quantité arriver à . gisement {t département 69 Pas-de—Calais, 52 au au 34 à Maine—et-Loire; c’est—à-dire que le nombre ci-dessus est de 433, ou de près des 7,-"8 du total. et départements départements, l’Allier, 6 aux de la Loire, la Loire-inférieure, la Mayenne et le Puy—de- Dôme, ont eu, le premier, 1 2 tués ou blessés; le second, 1 1; le troisième,“ 19 et le quatrième, 13; 1, la Haute-Loire, en a eu 8; .2 l’Ardéche et la Vendée, en ont eu 3; n, le Cantal, la Creuse, la Moselle, la Haute-Saône, en ont eu 2; 2, l’Aveyron et le Rhône, en ont eu 1 et enfin 1o n’en ont eu aucun. autres , Sur les arrivées par éboulement, 58 aux carrières, appartiennent savoir : 23 dans les carrières souterraines et 35 dans les carrières à ciel ouvert; 6 autres cas de mort sont arrivés dans les carrières souterraines, 3 par rupture de câbles ou d’engins et 3 par chutes d’ouvriers dans les puits, etc.; 6 autres morts ont également eu lieu dans les carrières à ciel ouvert, savoir : 2 par coups de mines 1 par asphyxie et 3 par chutes sur les travaux. 211 morts , Le tableau quel a été, récapitulatiirelatifà sur chacune des années 1842 l’ensemble des ouvriers blessés, le nombre de , 1 844 jours et de 1850 fait voir chômage occa- sionné par les blessures, et le n01nbre de de moyen jours repos pour chacun d’eux. En 18112, le nombre total de jours de chômage a été de 23,714, ou de 25,63 par Ouvrier; en 18411, il a été de 20,658, ou de 251,62 par individu blessé; en 1850, enfin, de 23,517, ou de 37,99 par ouvrier. Le tableau de 1850 donne, en outre, un détail qui n’avait pas été recueilli dans les années précédentes avec assez de soin, c’est le nombre des accidents arrivés dans l’année et qui ont occasionné les morts ou les blessures : ainsi les 830 cas constatées de mort ou de blessures constatés en 1850 sont résultés de c’est—à— dire qu’en il moyenne y a eu par 100 accidents 7.44 accidents; 1 1 1,5 ouvriers tués ou blessés. Le tableau de l’année 1850 nous donne lieu aussi de constater nature de mines et pour les mines de Combustibles chaque qui été le théâtre du quels sont, pour les principalement, dépth plus grand nombre d’accidents : non, sans doute, l’on que puisse toujours conclure d’un chil‘l’re plus élevé des accidents dans une localité tements ont , , Les de mort, cas ment: 47 et—Loire, au nombre de 1 17, se appartiennent au'département 15 Gard, au 9 de la Loire, 16 8 à l’Allier, et 5 au Nord, au d’ailleurs répartissent différem— peu département de Saône— au départemen} Loire. Total pour les 6 départements ci—dessus, 9 1, ou plus des quels sont, en 1 850, les départements où l’extraction a été le trouve un de Maine—et- 3/4 ; et si on recherche plus considérable, on : Loire . . . . . . Nord...” . . Saône—et—Loire Gard..... Allier . . . Aveyron 5 de . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .I . départements figurent . . . . aussi . . . . . . . . . . _ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . parmi . . . . . . oùle . . . . . . . .. . . . . 15,581,247“.1 10,016,7[14 4,397,168 3,090,797 2,168,150 1,255,3[13 plus grand nombre d’ac— cidents sont arrivés en 1850, et si ne l’Aveyron s’y trouve pas c0mpris, c’est que l’exploitation des mines de ce département se faisant, en très—grande partie, à un niveau supérieur à celui des vallées, dans des conditions s’opère presque partout ces de sûreté l’on que ne réaliser ailleurs. peut ceux