Statistique de l'industrie minérale et des appareils à vapeur (1847-1852) [Image 38]

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L313! l bois, valant 48,260,102 francs, et 2,82 1,497 quintaux métriquesà la bouille, valant 101,481 ,008francs : total, 3,766,873 quintaux métriques, valant 149,741, 1 1 ofrancs. L’accroissement de valeur résultant de la transformation de la fonte en fer peut être estimé approximativement à francs. 64,325,798 1848, la fabrication au charbon de bois n’est plus que de 709,201 quintaux à la de'2 la fabrication valant ,053,338 houille, 28,543,860 francs, et quin— métriques, taux métriques, valant 6 1,3 2 9,42 2 francs: total, 2 ,7 6 2 ,53 9 quintaux métriques, valant en fer dû à la de latente de conversion valeur francs. 89,873,282 L’accroissement En francs. être évalué à 35,777,850 De même, en 1 849, il a été fabriqué au charbon de bois 672,023 quintaux mé- 1 et à la valant 1,762,51 francs, houille, quinta'ux 25,419,656 métriques, valant : ensemble 2,434,534 francs valant 48,295,148 quintaux métriques, triques, : 28,560,105 fr. dû au travail de fr. Accroissement de valeur l'atiiuage 73,714,804 En 1850, la quantité (le gros fer fabriquée au charbon de bois a été (le 680,964 et celle qui a été faite à la houille, valant 25,1 12,826 francs, quintaux métriques, de 1,780,996 quintaux métriques, valant 43,743,939 francs: ensemble 2,461,960 résultant. de francs. valeur valant 68,856,765 L’augmentation quintaux métriques, (le la transformation de la fonte en fer n’est plus que de 27,736,899 francs; En 1851, le poids du fer fabriqué au charbondç bois est de 759,179 quintaux et celui du fer à la houille, (le 1,782,494 quin- valant 28,12 5,248 francs, métriques, taux métriques, valant 47,376,12 1 francs : en tout, 2,541,673 quintaùx métriques, valant 75,501,369 francs. L’accroissement de valeur résultant de la conversion de la fonte en fer, peut être estimé à 30,044,949 francs. peut En 1852 , enfin la , quantité de gros valant charbon de bois n'est que de 646,01 7 francs, tandis que celle du fer à la h011ille fer au 27,301,165 quintaux métriques, atteint 2 ,3 7 2 ,02 3 quintaux métriques valant 63,982 ,685 francs: ensemble 3,0 1 7,580 de va- l'accroissement valant suite, francs; et, 91,259,450 par quintaux métriques, , fer peut être évalué à 34,2 85,670 francs. a en, dans la fabrication du fer, une de perte (le de aété francs; 1850, 35,765,693 pour perte leur dû à la transformation de la fonte il 1847, '3' 28,547,948 francs; pour 1849,13 Ainsi, (le 1848 sur en de de et 1851, francs, 1852, 30,040,128 34,280,849 36,588,899francs; pour pour francs. ,A partir de 1851, le mouvement (le décroissance s’arrête, et en 1852, sun- tout, une jours, et, en vive reprise se fait sentir. Laissant ces et années une les 1850, 1848,1849 pour la réunissant à celle qui a eu lieu sur la (leur années de côté, il restera‘tou- totale de 100,902,540 francs; perte fonte pendant la même période, on la le travail de fabrication de fonte et du fer, la résultant, perte totale, sur que de la révolution de Février, (le 1848 à 1850 inclusivement, ne peut être évaluée à trouve moins de 210,000,000 de francs, et le travail d’une seule année, de l’année 1847 ( Lxrn ) normale, n’a pas prenous pour une année supérieure à 1 70,000,000 de francs. nous que créé une valeur de beaucoup Les tableaux t‘a—annexés permettent encore d’apprécier d'un coup d’oeil les departements qui out le souffert. de la CI‘ISe, et sont ceux plus habituellement bustible minéral. le plus de fonte et de quels qui fabriquent quels fer, soit au combustible végétal, sent soit au com— Sous le premier rapport, l'exemple le plus remarquable à citer est celui du dépar— tement du Gard qui, après avoir produit, en 1847, 1 52,780 quintaur métriques de er à la houille, n'en a plus produit, en 1849, que 27,310 quintaux métriques. Je puis signaler aussi le département’du Nord, qui, (le 560,22 1 quintaux métriques en est descendu à 228,132 en 1850; 1847, puis ledépartement de Saône»et-L0ire', de 205,000 quintaux métriques, est tombé à 102,000 quintaux qui, métriques; de 2 10,000 à i'Areyron, 46,960 quintaux métriques. La perte, pour quelques centres de fabriéation, comme la Moselle et la Côte—d'Or, eût été bien plus considérable encore, s’il n’y avait pas eu, au moment de la rétro; lution, des marchés considérables de rails pour les chemins de fer de Lyon et de Strasbourg qui ont continué de s'exécuter, et qui ont soutenu pendant la crise les en étaient c'est ce que montre le tableau qui donne la qui chargées; usines produc— tion de rails pendant les 6 années 1847, 1848, 1849, 1850, 1851 et 1852, avec le prix dans chaque département et pour chaque année; le prix. moyen des rails s’est mieux soutenu celui du que gros fer en général, par le motif qu’à partir de 1 848 il n’a plus été conclu que de très-petits marchés, et que les prix de ces marchés, bien que très-bas, 22 et 23 francs le quintal, ne pouvaient influer que très-peu sur la moyenne générale; Pendant les six années de 1847 à 1852, 32 n'ont départements produit de fonte , ' ' ni au n’en charbon de bois, ni ont jamais fabriqué partements de: combustible minéral, et la plupart de ces départements. n'en fabriqueront probablement jamais. Ce sont les dé- au et L’Ain, L’Aisne, La La Les Basses-Alpes, Les Hautes—Alpes, L’Ariége, L’Aude, Les Le Bouches—dulfihône, Calvados, Le Cantal, ’ ' _ Charente-Inférieure, Creuse, La Drôme, Le Finistère, i La Haute-Garenne, Le Gers, L’He’rault, I La Haute—Loire, Le Leiret, -