Statistique de l'industrie minérale et des appareils à vapeur (1847-1852) [Image 43]

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( Lxxv1) Loire, à 33 fr. 20 cent. ;’ l’Allier, à 33 fr. 90 cent; la Moselle, à 34 fr. le Nord, à 35 fr. 60 cent. 848, les prix 20 cent, et Après 2o cent. à 21 fr. 3o cent; dans la Haute— de les se sont et en 1852 ils étaient 1850, relevés, partir généralement prix respectivement, dans le Nord, de 25 fr. 50 cent; dans l’Oise, de 26 francs; et dans la Haute-Marne, de 24 l’r. 50 cent. A côté du tableau des a; fers la cru de- bouille, Production gros j’ai de la fabrication des rails pendant les quatre années général tableau spécial que nous avons un gnements dignes de la considérer; il résulte, d’ailleurs, de à d’intérêt. ce tableau, quelques rensei— active a la fa— départements prennent. peu brication des rails; à partir de 1848, il n’y a plus eu, pour ainsi dire, de nouvelles cenunandes; les anciens marchés, comme je l’ai dit plusieurs fois déjà, ont seuls, en seulement 1 1 quelque s’est 1848, le 33 fr. 40 n’est au-dessus du beaucoup du i’er prix gros plus fer baisse ils se fait le des rails qui que prix moyen du à fer la en ainsi, houille; gros moyen prix ce , encore à 25 fr. 30 cent, les rails maintiennent à 30 l’r. commence à disparaître, prix moyen du Chaque un de 36 francs tombe à 29' fr. 80 cent; celui des rails de cent. ne descend 30 fr. en le cent; 90 1849, prix moyen du gros fer qu’à de fr. 30 cent. le des rails ne en 1850, le 27 que prix change pas; gros les rails à 3o fr. 50 cent; le d’une manière part sorte, continué de s’exécuter, c’est soutenu cent; 2o en 1 en 1 85 1 baissent que de quelques centimes, le gros fer remonte à 2 5 fr. 60 cent. et ne , 852, enfin, l’influence des marchés antérieurs à 1848 les rails tombent—ils à 26 fr. 80 cent, pendant que relève à 2 7 francs, c’esteà-dire que l’équilibre se rétablit. et aussi fer gros se année, d’ailleurs, la de rails quantité , le Gard. 1849, 1l , dépasse est . u 1847, en a tenait ne le que s septième c’est encore le “Nord qui tient le premier rang; mais en 1850, la de quantité par une gros fer fabriquée chaque élaboration nouvelle fers, tôles, etc., i’er de en certaine une petite dimension, fabriquentcomme les se année, gros fers en partie tôles, est con- Ces pe— combus— etc. eux-mêmes, partie au végétal, partie au c0mbustible minéral; la quantité, pour chacune des quatre années 1847 à 1850, est indiquée dans les tableaux du gros fer correspondants. On’ y voit, en ce qui touche les petits fers au combustible végétal, qu’un petit nombre de départements en fabriquent habituellement, et que dans les plus forts produc— teurs, le Doubs et le Jura, il y a eu augmentation dans la fabrication après 1848, mais en même temps baisse de Cette prix. apparente anomalie s’explique par l’obli— où les maîtres de gation forges se sont trouvés de chercher à l’extérieur des débou— chés pour leurs produits, et de fabriquer par là même les grosseurs qui leur étaient plus spécialement demandées. Il est résulté de là que la production totale des petits fers a été, sauf l’année 849, ou égale supérieureà celle de 1847; en 1850 même, elle s’est élevée à 1 53,770 quin— taux métriques; mais, pendant que les 141,849 quintam; métriques de 1847 se ven- daient 8,2 07,625 francs, les 153,770 quintaux métriques de 1850 ne se vendaient 1 que 8,196,410 francs; le 53 fr. 3o cent. prix s’est abaissé de général moyen 57 fr. 8o cent. a Pour les fers à la bouille, nous trouvens des résultats petits analogues; le nombre des départements producteurs est plus considérable que pour les petits fers au bois; il n’y en a n’aient 34 de fers de cette que qui nature, pendant pas fabriqué petits l’une ou l’autre des six années dont nous nous occupons. La totalité de la fabrication s’est élevée: En1847,à............... En 1848,à . . . . . . . En 1850,51 En1851,à........ En-1852,à..... . . . . . . . Les ces . . . . . . . . prix moyens généraux années, de: . . En1849,à............ 1 veyron En 1848 et 1852 I tible diminuait à mesure fabriquée que les marchés s’accomplissaient; ainsi, en 1847, on fabrique 887,464 quintaux mé— de en 1848, ce n’est rails; triques plus que 728,352 quintaux métriques; en 1849, 412,426 quintaux n‘étriques; et en 1850, 230,873 quintaux métriques. A partir de 185 et de 1852 surtout, la situation change; de nouvelles commandes ont été faites, et aussi le poids des rails s’est-il élevé successivement à 27 1,080 quintaux fabriqués en 1851 et à 604,616 en 1 852. métriques quintaux métriques Les départements qui avaient le plus de rails en l’A- sont le Nord, 1847 fabriqué et et Sur vertie tits A placer 1851 o ont été le Nord, a 2 1 fr. 50 cent; dans la Loire, de 33 i’r. Marne, de 38 francs à 24 francs. voir p.- rancr. D année et en décroissant: dans chaque presque partout ils tombent de 35 fr. 60 cent. à 25 fr. 10 cent; dans l’Oise, de 39 fr. 10 c. 1 ( Lxxvn ) la Moselle, qu1, par ’ . . . . . . . . . ont . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. .. 1,238,606‘1'm' 836,947 841,441 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . d’ailleurs été . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. 1,004,873 1,294,181 1,587,788 respectivement, pendant chacune de-