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( _T“BLE"*U ) RÉSUMÉ, de 1833 811852, des documents statistiques aux bateaux et bâtiments à vapeur. K‘ l cxxnr relatifs MACH] à Es’ XOMBBE BATEÆËS. NOMBRE DE Pana! en NOMBRE 70211331385. DE TDXNBS. chevaux. -—.._ fluviale, le même tableau fait ressortir, sur les principaux bassins où successivement des lignes de fer sont venues s’établir, des résultats curieux; il montre qu’à mesure que le chemin de fer avance dans la vallée, à mesure la circu- lation par bateaux à vapeur se reporte vers les embouchures, où elle augmente, jus- chemin ce le de fer ait lui-même atteint le littoral maritime. qu’enfin qu’à la de la vallée Loire entre Orléans et la En mer. 1857, 270,000 voya— Exemple, 1,038,916 925,063 1,248,552 88,140 22,909 121,553 161,501 2,190,621 99,353 1,418,189 1,969,905 2,5411 16 2,526,637 274,808 213,886 485,539 858,986 2,515,691 996,826 2,591,905 1,306,395 3,286,579 1,081,511 3,461,336 696,666 3,152,323 80î,131 2,808,545 1,015,813 703,859 1,588,500 2,533,125 2,752,984 2,901,961 3,2îl,î58 1,091,295 1,562,076 2,998,815 2,056,208 972,921 circulé la Loire entre et Nantes; en 1848, il en Tours Orléans, geurs circule encore 200,000; en 1849, ce nombre se réduit à 170,000 : c’est dans cette même année que le chemin de fer de Tours 'a Angers a été ouvert; en 1850, il n’y a ont encore sur allant [15,000 voyageurs plus que par bateau à vapeur sur la Loire entre Nantes et Tours; en 1 851 et 1 852 enfin, ce service disparaît complètement, et un petit nombre , de remorqueurs, Au seulement, contraire, dans ce remontent tableaux fournit des ces d’être étudié. Le tableau H fait voir les lignes de paquebots qui renseignements dignes au de marchandises. d’intérêt et mérite chaque mer comme pour chaque bassin, plus grand mouvement de voyageurs ou _ En la ce ligne qui touche les du Havre à Botterdam 9,1115 voyageurs et 8,027 gers rapports et celle qui les pays étrangers, l’on voit que donne le plus fort trafic; 111,828 passa- avec de marchandises, en 1851. En tonnes de marchandises. tonnes Vient ensuite la doune de de la France est ligne deMarseille à Ajaccio, Bastia , 1847, Livourne il y avait et en eu età 23 1,000 en 1851; 1852, enfin, le nombre des voyageurs descend à 1118,193, et l’on comprend l’aci- lement cette diminution, en se rappelant que c’est dans le courant de l’année 1851 en ' a atteint la ville de Nantes. le chemin de fer que Le tableau l fait voir l’importance comparative de la dans chacune des bordent à française navigation vapeur, nombre s’en au qui rapportant des voyageurs transportés, et sans tenir compte de la longueur des lignes de navi— la Manche le vient ensuite la Méditerranée l’Océan, gation occupe premier rang puis et enfin la mer du Nord. mers notre territoire; en , , C Sardaigne, qui et rivières, c’est le bassin de la Gironde qui occupe le premier rang pour le nombre de voyageurs transportés, 975,000; puis vient le bassin du Bhône et de la Saône, 594,870; après celui—ci le bassin de la Seine, 585,850, et le , bassin de la Loire, 357,2 18. Pour les marchandises, le bassin du Rhône estle s’en rapproche beaucoup. Enfin le tableau K 14,498 16,000 voyageurs par an, et (le 1,000 à 1,500“mes de marchandises. Quant à la navigation de port français à port français, les deux lignes qui donnent le trafic le plus considérable sont, d’une part, celle du Havre à Honlleur, a trans- qui en 155,000 1852; celle de Lorient à Port-Louis, 100,000; elle du porté voyageurs Havre à Caen, 29,095; celle (le Cette aux Étangs de Thau, 28,000; et celle de la Ro— chelle à l’île de Ré, 20,000. 10,000 à 1850, en i sont, pour donnent lieu jusqu’à Angers de en est à 1 16,000 remontée 60,000 75,000, 18119, peur Orléans. la circulation des bateaux à va— temps, voyageurs par en 18117, de en 1848 de n’était, 100,000, qui que Nantes et entre Quant aux fleuves quelles la Loire même , Chacun de ) Quant à la navigatioan W DE cxxv présente aussi quelques plus important; faits de la Seine d’ailleurs comparaison intéressants; on voit et sauf le mouvement en en marchandises anomalies, y que, quelques voyageurs n’a cessé de s’accroître 2 jusqu’en 18115, pour les voyageurs; jusqu’en 18113, pour les marchandises; puis, dépression rapide; à c’est partir de l’une qu’alors comme de l’autre de les chemins de fer ont il a une époques, y commencé à faire sentirleur ces 18518, le mouvement de décroissance a été naturellement précipité par la crise politique et commerciale de cette année; en 1850, une certaine reprise s’est influence; en manifestée, a été et même, pour les voyageurs, le nombre de supérieur à celui de 18117. ceux qui ont été transportés