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-*-- XGVI — Ainsi donc la valeur du combustible consommé dans la fabrication de la fonte grammes de neuvième du au en tandis la du les de valeur brut, pas, général, que, représente produit 2,5 la fonte au charbon de bois la souvent en combustible atteint le p0ur plus dépense la moitié et parfois les 3/5 du prix de la fonte. Ce simple rapprochement suffit pour coke ne En beauconp plus intimement que celui En Combustibles consommés dans la fabrication des fers à la bouille. de 5853 à 1853. La dépense combustible de présente, même que pour les fontes, une imper—- tance bien moindre dans la fabrication des fers à la houille dans fers au celle des que en bois. C’est d’ailleurs ce qui résulte, sans conteste, des chiffres les yeux de Votre Majesté. En 1853, il a été consommé dans les usines à fer qu’il me reste à 205 de coke, valant 380,396 quintaux convient de remarquer que cette consommation et cation du fer et 1857, la que du fer. et prix la quantité kilogrammes dépense en combustible représenterait moins du encore ’ de fer de combustible consommée par de houille, ce qui correspond à une quintal dépense de fer a été de de 4 francs par vendant, en moyenne, 32 fr. 29 cent; de sorte que, pour cet exercice, la valeur du combustible, en raison de la diminution du prix des fers, quintal Placer se dans leur valeur pour près d’un huitième. En 1858 , enfin, le poids des combustibles consommés sous de houille fer, —— 1856, les résultats sont analogues : la dépense en combustible est de 10,034,045 quintaur, valant 18,362,302 francs, pour 4,636,993 quintaux de fer, valant 155,91 1,390 francs; soit une dépense (le 2 16 kilogrammes de houille, ou de 3 fr. 96 cent. par quintal de fer, d’une valeur de 33 fr. 62 cent. , démontrer que le prix des fontes au bois est lié des fontes au coke à la valeur des charbons. KGYII rfi centre 8,243,292 quintaux métriques ensemble 13,903,567 francs; mais il _ la seulement fabri— pas des tôles et des aciers, de ne concerne qu’elle s’applique également à la production sorte qu’il a lieu d’en tout le du coke ci—dessus relaté qui a servi y défalquer poids au des creusets dans la fusion de les l’acier, 645,283 chauffage lesquels s’opère plus de houille à la fabrication des et les tôles, 233,662 quintaux quintaux employés de bouille utilisés dans la production des aciers cémentés; ce qui réduit, en définù tive, le poids de la houille consommée dans le travail du fer proprement dit à 7,364,347 quintaux métriques, valant 1 1,488,381 francs, pour une production de 3,500,294 quintaux de fer, valant 105,751,194 francs; d’où il résulte qu’il a été consommé, en moyenne, 2 13 kilogrammes de houille par quintal de fer, et que la valeur du combustible ne dépassait pas le neuvième du du fer à la houille, prix tandis que, pendant le même exercice, la en combustible les fers au dépense pour bois atteignait, ou s’en souvient, près du quart de leur valeur. En 1854, la quantité de combustible consommée la fabrication des fers de pour toute nature a été, sans tenir du coke à la fusion de l’acier, de compte employé 9,331,880 quintaux de bouille; sur cette quantité, on peut en attribuer 710,347 à la des tôles et quintaux production 249,780 quintaux à celle des aciers; il en reste, en conséquence, 8,371,753 quintaux, valant 13,897,110 francs, pour les 4,172,268 quintaux de fer produit, d’une valeur de 134,756,651 francs; soit en» viron 200 kilogrammes de bouille 1 00 de et une en fer, kilogrammes pour dépense combustible de 3 fr. 33 cent. par quintal de fer, se vendant 32 fr. 29 cent. Il est facile, à l’aide de calculs à ceux nous venons de faire, de re- analogues que connaître qu’en 1855 il a été consommé 8,977,739 quintaux de bonille, valant 16,518,040 francs, pour 4,569,295 quintaux de fer, valant 158,386,245 francs; d’où il suit qu’on a employé près de 200 de houille 100 kilo- kilogrammes pour a été de 8,644,942 quin— 4,276,342 quintaux, va— taux, valant 15,474,446 francs; celui des fers produits de lant 1 23,290,970 francs; ce qui prouve qu’il a été consommé de houille kilogrammes par quintal, du huitième de celle du fer. encore près 202 et Le cuivre, le plomb, l’argent France, les seuls métaux et MËTAUK moyenne , représentait . AUTRES QUE LE FER. accessoirement l’or sont, en ce qui concerne la fer dont la mérite de le fixer production que quel- doute, il existe aussi quelques exploitatious d’antimoine autres l’attention. instants ques sans et de manganèse; mais leurs minerais avoir subi en la valeur des charbons que ARTICLE 2 PRODUCTION DES , vendent pour la plupart à l’état naturel ou traitement, et il n’y a point lieu de reproduire se premier place ici les renseignements que nous avons déjà donnés à leur éga'rd quand il s’est agi de la production des mines et minières. les Bouches-du- Six départements ont produit de l’argent, en 1853, savoir valant le kilo— francs; 1,268 1,089,564 Puy-de—Dôme, Bhône, 4,998 kilogrammes, de 272,529 francs; le F inistère, 1,176 kilogrammes, valant d’une valeur grammes, valant le la Pas-de- francs; Lozère, francs; 172,536 795 kilogrammes, 257,544 Calais 660 kilogrammes, valant 138,600 francs, et l’Isère, 23 kilogrammes, valant d’une valeur de francs. en tout, soit, 8,920 kilogrammes, 1,935,879 5,106 francs; Deux de ces départements, les Bouches-du—Bhône et l’Isère, ont fourni, en même après un sur : ‘ , l’un 21,900 grammes d’or, et le second 97,000 grammes; soit ensemble les obtenus le si l’en 1,300 grammes par y ajoute 118,900 grammes; lesquels, la en or de toute la France, du sables donnent, Rhin, des pour production lavage temps, 120,200 grammes, valant 411,944 francs. H— Producticn des métaux autres que le fer en :853.