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56 t culés d’accidents ployés correspondant (le victimes et J à un ellectif de ÛÜVI’ICI’S em“ 101000 CARRIÈRES AUTRES MINES DE un,“ sorrsnnxnrzs. son-IL DES ACCIDENTS. W“ Acci- dents. ———|——I—_———___I-——— Grison . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Iullarnmation de Puits i . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Travaux manuels . . . . . . . . . . . . . , . . . . de câbles chutes (le bennes Coups de mines Exploitation des voies . . . (le charbon Ruptures Causes diverses . . poussières dans les puits Chutes _ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ferrées souterraines . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAUX . . . . . . . l. . . . . . . . . . . . . . . . . , diagramme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . - . u 10a: 811. 8 . . C) 0') NJ . . . Dl ŒI b.) ls'Jü- n—hä “ ‘ D de a . - . . . r.» néral , h«il La 09 M ._. .4 U‘l c3: nlä‘ {D 0| O ED .— (D M ht- s—I G! , et Les éboulements constituent la cause la dans les mines que dans les carrières. Ils du total. revenir. explosions 17.5 gé- en grisou a été donné précédemment; souvent il n’y a la moitié lieu pas d’y ' ' d’ouvriers été pas de plus fréquente atteignent et dépassent des accidents, aussi bien ’ Les accidents dans les vent plus puits nent campren deux les isolés) ruptures de câbles, nombreux que l'année précédente. catégories et Les accidents dus chutes les chutes : de bennes, (le plus etc. sou- Ils n’ent de mine coups présentent toujours de l’importance. lls sont, dans les mines métallifères, parce fréquents que l’emploi des explo- aux général, plus sifs y est proportionnellement plus développé. en L’exploitation des voies souterraines détermine cidents, en l’emploi des outils. général mées, parce qu’il mais graves, peu qui ' toujours un grand nombre d’ac- élèvent le nombre des blessés. De même 1 ‘ Un accident des plus ne poussières graves figure, sur le tableau 17, être classé sous aucune pouvait de charbon. Le noire dans (le grisou un chantier poussiéreux du puits Marguerite. coups Il n’y avait au— chantier, mais les poussières soulevées (l’abord par le premier deux coups de mine, puis par la chasse d’air résultant de l’inflammation, se trace enflammées de au proche en proche, sur une 1 passage. Dans la même mine, le 15 mé’rs suivant, 3 ouvriers furent encore asphyxiés par la fumée d’un incendie allumé vraisemblablement par une lampe placée trop près de cloisons de bois. indiquée _ Le détail des de longueur de galeries de 80 mètres; les fumées, renfermant une très forte proportion d’oxyde de carbone, ont ensuite suivi le parcours du courant d’air et ont asphyxie tous les ouvriers qui se sont trouvés sur leur N! C’est mines poudre ces sont de 14.0 à 19.2 dans les carrières souterraines, soit, du tiers à la moitié en sus. autres désignation: Inflammation cette ‘ m D N) 78. .—.| . à la elle était établie l’ensemble des ouvriers tra- qu’alors pour vaillant tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, tandis qu’il ne s’agit maintenant des que premiers, c’est—à-dire de ceux dont la place est particulièrement périlleuse. La pro— cles morts s’élève ainsi de 25.8 a 33.6 dans les portion houillères, de 12.8 à- dans les avec l l’inflammation subite de poussières de charbou ou asphyxiés par les gaz délétères auxquels ellea donné naissance. Cet accident, dont une relation détaillée a été dans les Annales des publiée Mines (Il, a eu pour origine le débourrage presque simultané de deux de mine cune J:- DO I-‘U' etc. Blés: t’as. __—_————-————-N—— (afin-.1 .. Tués. Il convient de faire remarquer tout d’abord que, pour chacune des trois catégories de ce tableau, la proportiou des ouvriers tués est supérieure à celle a été qui dans le grisou, 57 18 février, [t3 mineurs ont été brûlés à la mine de Decize par MINES DE CHÂRBÜ-Ÿ- Eboulements à côté du i sonterminement: CAUSES t parmi les causes non dénom- rubriqüe; il est inscrit plus haut, Enfin, dans la Loire de 4 mineurs. Un accident d’un (Pas-de-Calais), le et dans l’Aude, deux accidents analogues ont causé la mort moins grave, est arrivé aux mines de Drocourt On commençait à remonter au les ouvriers. La jour autre genre, non janvier. première cage, chargée principalement d’enfants, partit régulièrement; mais la marche, au lieu de se ralentir en approchant du jour, s’accéléra considérablement, et la vitesse devint telle que toutes les lampes s’éteignirent. La cage vint Frapper contre la molette et contre les poutres supérieures du chevalement. Des 20 ouvriers qui s’y trouvaient, 2 furent tués sur le coup, 3 moururentle lendemain, et tous les autres furent grièvement blessés. Un autre accident, a causé la mort de 6 mais qui l’on n’a du personnes, que pas porter dans cette statistique, parce qu’il n’est pas un accident de mine proprement dit, n’étant pas survenu le pendant travail, est arrivé le 28 septembre aux mines de Pey— chagnard (lsère). Deux jeunes ouvriers ayant pénétré clandestinement avec leurs deux sœurs et deux autres filles dans une galerie dont l’accès était interdit, jeunes furent asphyxiés par l’oxyde de carbone provenant d’un incendie souterrain. 2 I Comme on peut le voir, cidents souterrains, en rapportés consultant les à un effectif de totaux du 10,000 tableau, l’ensemble des ac— ouvriers travaillant souterrai- nement, s’est élevé à environ 85 dans les houillères, 80 dans les autres mines et 51 dans les carrières souterraines, avec un nombre Correspondant de morts montant respectivement à environ 3A, 16 et 19. Le nombre des blessés dont on a 8’! connais- ———___ l" Annales des Mines, 1“ vol. de Mines. — Statistique. 189L, p. 396-450, pl. Xl et Xll. J‘fiz H ÈCOzg / p Us 7/ m {gtey 17‘ 6}. ./oï K6; ‘