Statistique de l'industrie minérale et des appareils à vapeur (1891) [Image 179]

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  1. 2364— 1892 compte, comprenait que On — ' fait a France, “Mie en 1,027 ° 1,257 ‘BXPÏOI’CGBS; dont , dans le tableau résumé Suivant leur le Tecenâement de 1882 a nen en classification des une suivant leur 1° sources : - des substances très nombreuses, puasqu’el csdrenferinem grande, tous les Proportion plus a de Jarlbr dans lesquels elles circulent ou qu’elles traversent a avant de ces éléments, dont l’analyse chimique ne toujours 'e mo plicité revelenpas ou en elequentsfsoluäïsss 1esL âeïäpis moins spr ace; o d e e _ . 1b. . con i p æîi g n compliquée qlassdication l ratiqnnei cl la nécessité de tenir compte de leur minérales; actlpn economte‘anîlmîre‘, tour la présence de du rôle médical, qui parait c’ertalnes substances quî'syd oqvten Aussr y a-t-il pas ç: la difficulté. minimes,'vient augmenter quantités e.se 1i a et c t 1 d qinn, soient les parvenus pas que hydrologues Ëccord poucp :ioîïtïî S“ de la France range les classification. L’Annuaire des d’une manière certaine, rend très diificile la très et es sur et eaux HI. Eaux peuvent être a encore ne se IV. Entra: salines. dans le présent paru préférable, plus Simple et opdre ' ‘ , a n dtviser bornant I 0 parai ‘t mieux récapitulation statistique, à. les. savon‘: caractère leur médico-chimique prédominant, d’après 1° Eaux sulfureuses; 2° eaux alcalines, 3 eaux feirugine .uses' [i eaux salines. Ce classement a été adoPté comme étant le plus simple et le plus contenter dans un travail où les analyses chimiques des eaux pas trouvent ne est de leurs l’un des avantages de cette statistique détaillée designer à en une se eaux unner ' ' ° - France es en tœ que en résulte pour les médecins, les chimls'tes et les divisions qui leur paraîtraient mieux répondre a telles autres gr p es p t l e edse particu locht 1er e l eu r5 études. propres Il. . libre, sulfuré soit de sulfure soit L’hydmgène al’état all’état caractérise ces eaux. Toutes celles qui ont été comme déugnées telles sont les eaux classe: cette dans rangées première diämelie—leszBains, de-Luchon, de Barèges, de Cauterets, les Eaux-Bonnes, celles dAllevar d’E ngh i en. Eaux sulfureuses. — alcpläté dégageaq‘q cedgazB opères' :11 iäîA-e-leÎBains H Eaux alcallî’ncs l ’v ÿ 1lais (les types I 63 d’aut accompagnè‘} et “lent La. seconde Classe l’état de GaËbÜnate la Coude v — . 5011i. L 0U. de SOUI’CBS non ù bICaI’bÛnate, avec 011 53.115 -1x , sulfureuses l I’ ’ . mine Predo. Thon! i ou (legac‘ement daCIdç I ca q “en de CG genre d’eaux minerales- Les carbonath alcalins 50111.. il“ eq BIT!— u. Chaux e i. le Chlorure de SÜdlum Substances-l. (301111118 le carbonate I I ’ t D ’ a 1 (33. l. 1113 s eal‘lï heSIte 6P les C ertalnes sources arml assez notaljleâ arano Pour (111011 P quantités 1 OIÜ lb i les eaux salines. De ce noml)re sont celles du I Lly-Cle-Dome (ch Parmi l a . en. comprend les l ’ ’ l . Ü q F que natées) dvec a I saint-Gaimier . les alcalines. (gazeuses ’ lJlCanÜIlalees r I SOEllqtleS l et comme sont comprend des celles d’Orezza de et non sulfureuses, Sylvanès. eaux calCIqueS, 81,6.) ' ’ qui 50 11L caltk‘ ÛOÏÏÎP se divisent ainsi 1V. —___ . . . . . . . . . . alcalines............ ferrugineuses . —_ : . s’alines....... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 358 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 426 . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . .. . 140 333 , répandqi. 0p peugïîn ace: dû: chaque lquÈce lîivlrer geolaoguesla acu a IU. convenu ou 1892 ____ ce S La seconde classification des sources a trait à leur Elle comprend deux divi- température. sions : 1°les eaux froides ou tem pérées qui n’accusent pas plus de 1 5 degrés au thermomètre cen- tigrade; 2° les eaux thermales proprement dites, dont la température excède 15 — e en Cette classe I. Sources sulfureuses Il. travail, , duellement; il principal, eaux, , . ° ‘ —— que , N1 ans Onze sources ristons, d’apres lem COE‘DPOSIUOD r .bimi ue. l‘vîais il q. un (le même que dans celui de 1882 de smvre ' on renferment des sels alcalins ou calcaires accompagnés xcès d’acide Toutes sortes d’eaux carbonique. n’a rangé dans la troisième classe les eaux généralement les unes sont complexes: caractéri sées par le chlorure de sodium, comme Bourbonne, Lureuil,Bourbon—l’ Archambault, ou Balaruc, par le sulfate et le silicate de soude comme Évaux, Bains, Plombières; et les autres par le carbonate ou par le sulfate de chaux comme Pougucs, Cransac, Contrexéville, Anlus, Capvern, Bagnèi‘esade-Bigorre l1]. mettre eaux ' ferrugmeuses; dont le fer forme le caractère encore ' Ces e à souvent ' ferrugineuser. —— érature. tem corpîïîZÏîëïitîenfient dissolution nécessairement, —237—— explo1tation. en entrer ’ sources, . La degrés. températur d’une source est l’indice de la profondeur à laquelle au sein de Ia pénètrent, terre, les eaux qui lui donnent naissance; c’est une donnée d’ un haut intérêt. Sa signification n’est toutefois la plus même, chaque lois qu’ily a un mélange de l’eau thermale avec des infil- trations superficielles; dans ce cas la température de l’eau minérale s’abaisse. En conséquence, un semblable abaissement, lorsqu’il est possible de le constater, le défaut indique généralement d’isolement et l’insuffisance du captage d’une source. Le cas est fréquent. Il en résulte la que comparaison de l’ensemble des sources de la France, au double de vue de leur point tempéra- ture et de leur composition, ne peut fournir des conclusions théoriques rigoureuses. Cette comparaison conduit cependant à des notions instructives. On a reconnu depuis long— temps que les eaux sulfureuses sont généralement douées d’une tandis que élevée, température les sources ferrugineuses sont habituellement froides; on a constaté aussi que de semblables règles comportent de nombreuses exceptions. Peur aborder un examen de ce genre il est indispensable de distinguer les eaux sulfureuses suivant qu’elles ont pour élément princ ipal des carbonates alcalins ou du sulfate de chaux : les premières viennent généralement d’une assez grande profondeur, tandis que les secondes sont souvent superficielles, et les réactions chimiques qui ont donné naissance à l’hydrogène suif-ciré e , K "l La source de sulfureuse. Labassère, qui est amenéeà Bagnereshde -Bigorre, est, non pas une source saline, mais une source