Cette page est protégée. Merci de vous identifier avant de transcrire ou de vous créer préalablement un identifiant.
EN AIS GLETERRE.
/ 00 FABRICATION DE LA, FONTE ET DU FER
Machines à tourner.
de M. Robert Stephenson, à Newcastle, pour percer des trous dans des plaques épaisses de fer.
ABCD est un cadre susceptible de glisser de
Les machines à tourner ordinaires nous ont paru différer peu les unes des autres par leurs
nures pratiquées le long des piliers verticaux AC. et.BD, On lui imprime le mouvement au moyen d'un levier ou d'une grande roue EF avec pignon et crémaillère. HIKL est un cylindré avec deux collets HI( et H' K', qui le forcent à suivre le cadre, et auquel,
dispositions générales; la pièce qui porte les outils reçoit un mouvement de translation horizontal par l'intermédiaire de mécanismes analogues à ceux que l'on emploie pour communiquer un mouvement semblable aux forets ou allésoirs c'est toujours l'objet à tourner qui a le mouvement de rotation. Nous ne décrirons qu'une machine à tourner
liaitt en bas et de bas en haut dans des rai-
d'ailleurs, la tige MN donne un mouvement de rotation auquel le cadre ne participe pas. Cette tige MN, carrée de N' en N, entre dans un trou de mêmes forme et dimensions, percé dans le cy.1indreHIKL. Celui-ci est terminé par un foret IL.. Sur l'arbre ab, qui porte EF, est aussi une roue à rochets. On a ordinairement deux machines semblables
rune à côté de l'antre, et alors la même roue R imprime le mouvement aux deux roues R' et R". Machine à percer les trous dans la tae pour chaudières. Enfin , on emploie la machine suivante pour percer les feuilles de tôle qui servent à faire les chaudières de 'machines à vapeur. L'emporte-pièce A est fixe. La pièce B, percée d'un trou b, est mue de bas en haut par un arbre à carnes agissant en d sur la tige C et soulève en même temps la feuille de tôle posée sur la surface ss' Lorsque la plaque est percée, comme elle pourrait être retenue contre la pièce A. , la tige I) est soulevée, et fait baisser la pince F, mobile autour' de. E, laquelle fait tomber la feuille de tôle. .
les vis , que nous avons vue dans une usine de
Liverpool.
A , fig. il et 12, est la pièce qui porte rima; celui-ci est fixé, comme d'ordinaire , par des vis. B est un écrou sur lequel repose la pièce A; celle-ci, au moyen d'une vis de rappel , est susceptible de glisser dans le sens ab ou ba, fig. 12,
sur l'écrou B, afin que l'on puisse à volonté
écarter ou rapprocher l'outil de l'objet à tourner. L'écrou B,,fig. ii et 12, est traversé par une vis C; à cette vis estenarbrée uneroue den tee D ; cette
roue D engrène avec une roue E portée sur l'axe du tour et la roue E avec une roue- F, fig. 12 la roue F et une autre roue G sont folles sur l'axe. Un collier HW tourne au contraire avec cet ar-
bre; cette pièce porte des dents d, d', d", d". Des saillies correspondantes s, s', s" , s" se trouvent sur les roues F et G, et l'on peut, en faisant
glisser la pièce EIH' sur l'axe, faire participer l'une ou l'antre de ces roues à son mouvement. L'axe, et par conséquent la pièce Bit tournent toujours dans le même sens. On voit que le tour