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DU PLOMB.
sulfatée, le quarz , la magnésie carbonatée, l'oxide de fer, le fer, le zinc et l'antimoine sulfurés. On traite à Tarnowitz des galènes très riches, qui ne paraissent pas retenir plus de 3 4 pour 100 de gangue, et des schlichs, qui ne produisent que 4o pour ioo : nous ne nous occuperons que
usitées. La perte réelle ne semble être, dans la fonte riche , que de 13,5 pour ioo du minerai contenant 82, ou de 16 pour loo du plomb contenu. Au Bleyberg, les minerais donnent 25 pour Io° dans le fourneau. La perte fictive est donc de 7,5 sur ioo de.schlich, ou de 23 pour roo de plomb contenu. A Clausthal, d'après M. de Villefosse, la perte sur l'essai ne serait que de 12 pour ro° du plomb contenu après sa conversion en litharges et la revivification de celles-ci. En ne supposant que 5 pour roo de perte à la coupellation et à la revivification, il resterait 7 pour I oo pour la perte fictive en oeuvre ; ce qui serait très faible. Ce résultat paraît extraordinaire lorsqu'on songe à la pauvreté du minérai et aux opérations multipliées .qu'on lui fait subir ainsi qu'aux produits, avant d'en avoir extrait tout le métal. Les essais, peut-être, auront été très inexacts. Il serait difficile, d'après ce qui précède, de
du traitement des galènes riches, ce qui nous suffira pour établir nos comparaisons. La gangue de ces minerais est la chaux carbonatée , le fer et le zinc oxidés. A Vedrin , les minerais sont des mélanges de beaucoup de, plomb carbonaté et de plomb sulfuré, accompagnés d'ocre rouge, de pyrite de fer et de zinc suliuré.
Ils ne rendent pas dans le fourneau plus de
52 pour roo, terme moyen. Les minerais du Bleyberg, disséminés dans un grès récent, ne rendent pas au delà de 52,5 pour ioo à l'essai. Les minerais traités à Clausthal sont des ga-
Perte en plomb.
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TRAVAIL
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lènes dont le mélange ne donne en moyenne
tirer une conclusion positive sur la perte en
que de 4o à 42 pour roo de plomb à l'essai; elles ont pour gangue la chaux carbonatée, la baryte sulfatée, le quarz et le fer spathique. D'après les relations que nous avons sous les
plomb dans le traitement des galènes au fourneau à manche. Il n'est pas certain, comme l'ont avancé
yeux des procédés de Vialas et Villefort et de Vedrin , nous ne voyons aucun moyen d'estimer d'une manière un peu précise la perte fic-
Comme on fond àVialas et Villefort les schlichs Consommagrillés avec un assez grand nombre d'autres pro_ tion en com-
tive en plomb. M. Levallois suppose néanmoins
qu'a Vialas et Villefort elle est moindre qu'à Pesey.
Tout porte à croire, dit M. Manès, qu'a Tarnowitz la perte en plomb dépasse de très peu celle qui a lieu dans les meilleures méthodes
quelques personnes, qu'elle soit toujours plus grande que dans le four à réverbère. duits, nous n'avons pu estimer la consommation en combustible que d'une manière très approximative. Voici les résultats auxquels nous sommes parvenu. Pour le grillage de lao kilog. , on consomme 4o kilog. de houille (1) , représentant (I) Quoiqu'il se trouve de très bonnes qualités de houille
bustible.