Cette page est protégée. Merci de vous identifier avant de transcrire ou de vous créer préalablement un identifiant.
26 LEGËËI'ÏÎPÈËŒS. essarts. HOUILLEES ET .' COMBUSTIBLES SOLIDES. Les nouilles à moins de 26' p. 100 de matières volatiles. ce sont les charbons d’origine gelée cellulosique; ligneux 2° E. Biblz'ogropéie : EXÈMEH MIGROSGDPÏGUË SES HÜUELLES. — Derniers. Structure des mz’cr'oscofæ'gae lignires, Vin Acacia. Rosas industrie Eline’mle, 1928, p. 68. — Gëoäigiçus des citerôons. Péärogrepkie a. et surtout Dormeur. Les bouilles à coke plus filante-repère Jas écailles du Nord et 3° Les alertons a. du Partic- Calais. Les d’algues. MAGRGSGOPIQUES n'as novnnns. — Les bouilles sont formées d’alternances de lits c. d moins brillants. On distingue essentiellement : Le vitraiu très brillant, puis le ciarain et le durain, enfin le fusain mat et fibreux. Les cendres soit réparties, irrégulièrement en lits stratifiés (cendres d’ap port), soit régna sont fièrement et dans la masse cendres de constitution). Le vitrain est essentiellement formé d’une matière homogène et brillante, le durain comprend des débris végétaux microscopiques englObés dans un gel. Le clarain, type de transition, comprend simplement une plus grande proportion de gel. En général, dans une même houille, le vitrain est plus maigre que le clarain, et encore plus que le durain. Mais la diflérence est faible (3 1,2, 32,5 et 3&7 sur un esLsai de M. Legraye) et la valeur absolue varie considérablement, suivant les bouilles, au de la teneur voisinage moyenne du charbon considéré. L’influence de ces constituants sur les diverses propriétés de la houille est encore obscure. D’aprés Legraye, le vit-rein fond facilement et se boursoufie'. Le forme des lits et lentilles dans les diverses contre, de par qui fusain, houille, oll're qualités des caractéristiques très constantes il dérive de morceaux de bois de quelques centimètres, sa teneur en cendres est assez forte, et sa teneur en M. V. très constante o à 1 5 1 (1 p; oo), quelle que soit la teneur moyenne de la houille le contenant (sauf dans les bouilles très maigres). ou ' : Il est néfaste à la cokéfacticn. »—J Par l’étude Ceci dit, M. bouilles accrues. Duparque a établir le pu tendres}, bons de satine. Le durcir. y V. rares : a bcg" spéciaux (gapetsl, compacts, glas eads : charlatans de ligneux; structures ligneuses, avec "f “I . rr d'un? microscope parallélisme 4 —=e_ “w— m Pâte et débris ont suivant entre qualité et constitution des 26 p. soc}. Prédamhaauce de cuticules {peaux outi- nacre—spores, gelee d’engins alsummozde. Ce sont les char— > a prédomine. ——- , -- c a charbons de une origine (plancton, necton, crustacés) : charbons s commune, On trouve dans la nature actuelle De même, dans m‘a—d. “ d‘algues et d’animaux : car ils ont une composition chimique très rappro- ainsi la pâte des bouilles bitumineuses est l'aile de matières albuminoïdes venant des spores et de la cutine. _ , ou chée. ‘ - débris évolués cannel—coals à et clé-bis pseudo spores ligneus, que l’on peut faire rentrer dans la charbo' s ligneux, malgré leur plus grande compacité, et leur évolution plus poussée. les tourbes, on en substance analogue, se coagu ont facilement (sapropèle). trouve une à base de lignine, comme dans les charbons maigres. une La matière constituant le vitrain est homogène, clest elle qui enrobe les débris microscopiques dans les autres constituants. Mais“ la question est plus complexe, et il faut distinguer le gel authen— venant de la coagulation de la matière colloïdale, qui se présente sous forme fendillée, et tique, le xylovitrain, ou bois digéré dans le gel, qui se présente sous forme compacte, souvent sans aucun aspect organisé. L’attaque des plaques polies par divers réactifs permet de le mettre en évidence. Les travaux de M. Duparque ont été faits d’abord sur les bouilles du Nord du Pas—daCalais, étendus à de nombreux autres charbons. Des matériaux analogues ont été recueillis en puis U. R. S. S. Le point principal les discussions relatives à lequel portent relative du vitrain et du rylovitrain, ce dernier ayant, d’après grande fréquence que ne le pense M. Duparque. sur ces travaux est la d’autres savants, proportion une bien plus 3. Aurons CHABBONS. Les bouilles triasiques et jurassiques ont une structure analogue, à cela près que 'es débris proviennent de végétaux bien différents et que les sont rares. Les spores charbons de Fuveau camp ortent comme les bouilles des lits brillants de avec homogènes (pâte peu corps figurés}, et des lits ternes avec spores, fragments ligneux, cuticules, grains de pollens enrobés dans la pâte amorphe. En somme ces charbons sont constitués comme les bouilles. Le lignite de l‘éonosque, très bien stratifié aussi, contient peu de débris. H Pour les autres Les douilles tiremiwssss V. (M. y msées d organes macro et n au : 1° (M. r prédominance ligneuse .4 18 p. 1 ce), contenant moins charbons cellulosiques. 4 26) a de plaques simplement polies M. Duparque a constaté les bouilles sont formées de débris que végétaux minuscuïes (au mari—— mum fraction de millimètre), enrobés dans un ciment amorphe; ce ciment vient sans doute de la précipitation d’une gelée colloïdale organique en pseudowsolution; cette gelée se serait formée dans la lagune par destruction de divers éléments végétaux. (équivalent connu dans la nature actuelle). ces Les catégorie I ‘ 2. IVÏIGROGRAPHIE cellulosiques. ligneux, sur â. Les cannel—coals 1. Goussirmurs (18 M. V. 4 .ouilles antbraciteuses les spores y étant dlailleurs très les constituants d'un starters Annales Soc. Géologique de Belgiçua, 193 5. gras, Lueurs. Eeomen de le répartition des ccîdres dans les clacräms par les rayons 1K, À’n’nales Sec. Géologique érige, Ï ‘33 5. Prédominance de débris : é. Les Lueur“. Gonsts'taouts des cheréons. Lsoasrr. Üéssrzæna‘oas distingue ' 2? — On du Nord, ï926. Annales: Soc. ‘ — 1‘ u -. - n'avons bruns}, pas de renseignements. Les lignites ayioïdes comportent comme la houille des tissus ligneux à divers degrés d‘altération suivant :‘a digestion dans le gel. Certains lignites contiendraient des dans un champignons noyés gel, d’ utres uniquement une pâte homogène. catégories (lignites sépia et nous