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42 BASSINS HOUILLEBS. CLASSIFICATION. A l’Ouest du Grand Chenal existent le bassin bassins calmes, guelques petit tectoniquement de Lapleau (cliap. 7, S B} et surtout les bassins de Meanlne, Commentry, Doyet et Villefra iche, au Nord-Ouest C). Ces bassins sont d’âge stéphanien très supérieur. L’ensemble de ces bassins et du Grand Chenal est à l’ensemble de Autun-Epinac rapprocher et Blanzp—Greusot, bassin (rime situé sur un bouclier violenunent écrasé contre et bassin rigide, ce bouclier. faille Enfin, monte l’extrémité Nord du Grand Chenal. il résulte que la'pbase d’écraseme' entre les lèrres de Grand Chenal s’est des s le immédiatement produite dépôt après elle était d’ailleurs déjà commencée dès le les houiliers comme le 11-ontrent stépbanien, dépôts remaniés de SaintuEloy. D’ailleurs cette zone était avant le à tendance ell'onrirée brouiller, déjà puisque de nombreux bassi s’y sont situés. Dans l’alignement du Grand Chenal, plus au Nord, le houiller au travers des l'alerte—- reparatt terrains à llecise (chap. 7, S On a cherché sans succès s’il existe des bassins dans l’alignement de llogant A). à Ëecize. en les Pratiquement, sondages qu’il cette région, un placage de houiller stérile, très montrent profonds existe sur le bord Nord du Massif Central, dans mince. Continuant à tourner autour de Decazeviile, nous rencontrons un autre chenal, qui peut correspondre à l’écrasement des micaschistes du SudFOuest sur le bouclier limousin. il est jalonné par les petits bassins d’Argentat, Bosmorean [chap. 8, ä A). Au voisinage se trouve le bassin d’Ahun (5 situé sur une faille N. 0.—S. E., est reliée à la faille une B), qui d’Argentat par petite faille transversale, avec un peu de houiller à Saint-Michel—de—Veysse. Continuant à tourner, nous arrivons aux bassins de bordure Sud—Ouest du Massif Central : Ainsi, (westpbalien Il trouve sur le prolongement Sud du Grand régulier. stéphanien) Chenal, au voisinage de la grande faille de Villefranche. Toute la régionSud—Est de cette faille est d’ailleurs parsemée de petits bassins productifs avec mince placage stérile entre eux. Il y a là une analogie avec la zone Nord du grand chenal. Lorsque le houiller a pu être préservé de l’ érosion des par dépôts ultérieurs, on le trouve presque partout, mais mince et stérile. Ge phénomène se retrouvant lorsque l’on cherche le prolongement profond des bassins de Blanzdv—Greusot et des bassins de Rodez; il faut admettre que, sur une grande partie de la périphérie du Massif Central. le brouiller s’était dépoaé, mince et stérile, sauf dans de petites dépressions où il est épais et pro— ductif. Les mouvements tectoniques ultérieurs ayant accusé le caractère subsident de ces dépres— sions, le houiller productif a été conservé. Quant au placage stérile, il a été vite érodé, sauf dans quelques zones où des dépôts plus récents l’ont protégé (en particulier le permien souvent très épais, très calme, reposant sans accident sur le stépbanien). Bans ces zones, les travaux de recherclles ne peuvent donc se faire que par des sondages placés au hasard. est Dans le chapitre 8, nous parlons également du bassin de iléqubt, orienté Est—Ouest. Les bas- sins de Graissessac et de Neäez au étudiés (Montagne i‘loire}, chapitre 9, ont la même orientation, il semble donc qu’au Sud le passage des directions rarisque et arinoricaine se lasse de nouveau régulièrement, par simple inflexion. Dans la zone de l’Ài-‘eyron et du Tarn, on trouve, outre ces alignements Est—Ouest, le prolongement Sud des alignements à peu prés méridiens {Grand Clic-anal, a marquetterie'o de M. (études Durand), ' n . cristallin, subi de l’écorce (i3 . une nous forte Massif, de même qu’au Nord le ' ' du bassins et le Vigan petits du SudwEst. Son remplissage débute trouvons les poussée étages bouillers plus anciens que westpbalien apparaît en Lorraine et un peu en ' ' . , _ D’où l’idée de _ ’cbap. i) qui 1 de la ' retrouvons dans le Sud du Massif Central des Bretagne.‘ etransgression lironique-n vers le centre du Massif Central (Marcel Bertrand, 655.). biais le schéma qu’il en donne est très inexact, les âges des bassins étant rnal connus à cette époque. il a de. nombreuses façons de tracer les lignes d’âge égal pour les premières ratiquem‘ent, y strates de ces bassins bouillers. En particulier, on peut tracer un réseau comportant des lignes à la bordure actuelle du'l‘fiassii' Central, compte tenu des golfes (Causses, Limagne, etc). parallèles Ce tracé a l’arantagede cadrer avec le sens des transgressions dénotées par les .str ctures en op. . . . . I. " amande des divers bassins. Le Mas-sil Central est en ' _ du colin, parfois productifs (Château-sur— dépote Le Dinantien de la feuille de Bourg présente la structure en esca— outre parsemé de Cber, loanne, etc, chap. 1 a). lier, en plan. il est découpé de failles correspondant glissement horizontal des terrains. C’est un phénomène de torsion à celui du Le bassin la chenal. houiller de analogue grand Chapelle— sous—Dun, au .voisinage, est d’ailleurs bordé par une faille de même direction, perpendiculaire à la direction varisque. Bissms DIYEBS. — Le chapitre à un 13 est consacré à l’étude des bassins alpins (Westphalien et au bassin Lorrain, type analogue D d’abord le bassin de interne, comprenant Stéphanien), grand puis les petits bassins externes, que l’on peut rapprocher des bassins du Massif Central. Ensuite, se . nous D. dans le reste du ' D et bordure Sud-Est du massif grand au Westpbalien bassin houiller de Figeac—Saint—Perdoux, puis bassin permo—houiller de Brise (chap. 8, S C). Nous étudions ensuite les boasins de la région Sud du Massif Central. Le bassin d’Albi—Car— maux en baséin d’idée _ l «panneaux prés rectangulaires. sont à peu _ Nous étudions à leur suite le bassin permien de l’éumance. Le perniicn est très transgressii sur le cristallin et le bouiller dans cette région; il est subliorizontal et saline, même lorsqu’il sur—À deVillel’ranche].'Ici, les ' parlons des bassins du Sud—Est petits (Maures Estérel). Il ne reste que quelques dépôts sans importance ce sont les bassins Pyrénéens (chap. 111]; et Corse 1 5 est réservé aux bassins d’Outre—Mer. Le (Corbiéres, Basses—Ppénées) (Osani). chapitre nous et V CONCLUSIONS. "—.— | ’ français forment un ensemble d’âge de plus en’plus récentälorsque l’on du Massif Central, ce qui cadre avec l’idée de M. lung, à savoir que le Massif Les bâSSl.iS houillers s’approche du centre Central serait un géanticlinal, émergé dès le Silurien, et encadré de deux géosynclinaur. Des bords au centre du continent, on trouve la suite : bassin paralique (connu seulement au Nord) bassin limnique ample et récurrent bassins internes moins étendus, parfois d’une puis petits certaine importance : Leire, Ales, Blanzy, souvent très limités dès l’origine, avec récurrences —— n houillères tion Epinac, Albi—Carmaun), torrentielle (Commentry, Saint-Eloy, etc). Il semble Brassac, un peu au même avec faisceau brouiller unions, sédimenta- d’abord des fosses de subsidence d’orientation bien définie, de taille finalement de toutes petites cuvettes ayant tendance à l’effondrement, dispo— hasard, dans une zone où les efiorts tectoniques étaient très confus. Autour de ces qu’on décroissanteÿpuis sées ou trouve