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46 BASSINS HOUILLERS. a Dinant (B); du Gendron de Namur. i. Ce Les dernier formait r PBELEMIBMPŒS. (fig. 6—1). , (C); de Namur 1 (D); Au oebut du fi -— æ du Brabant ; o y Devonren, la le synclinal . mer houiller . s’avançalt jusqu’au occupe la bande Sud. du Condroz. cordilltère bordière; on le considère comme un géanticlinal à cotte il est difficile de préciser s’étendait la mer vers le Sud. iusqu’où époque ‘J' , il a C I; E /. 47777. aweü’mm' (/77 soc’e Æ Dévonien inférieur ( ransgression Frasnien ( fin de la transgression}. Fin du Famennien (légère régression}. NORD ET PAS-DE—CALÀIS. :9 f u à Î . .- 1— ä . Ê 'O w:33ävavwwæääväääz‘ ogofiffioîéâëoàà? r . - *- Csantrclma _ g v _ l u Cales Géantid'n I a' I - Ê, sosynclmsux _ entmques a [Calas hr‘yozoalr‘œ . . l 'Ï Fin du Dinantien. . dolomies Poudmgues ""—'î Gres grossiers Ë Calc.Grésñns “Schistes hg. 6. inférieur LîÿDévonien Coblentsiens pouoingues Le zone Dévonien comprend des grès grossiers du Cendres et n’existe pas moyen comprend des calcaires zoogènes au au au de I‘lamur. Le Dévonien Sud du Goudron, voit apparaître les Nord. Sud de Gondroz, et s’étend jusqu’à la supérieur comprend des schistes profonds au Sud. du Condroz, des grès, calcaires et doloniies dans bande de lamnr; il se manifeste dans le Brabant, où il débute par un pou- discordant légèrement sur le Silurien (fig. 6-2). : la nier du Sud monte lentement à l’assaut du. vieux continent dingue “Ainsi dissement est général. Le Cendres finit par perdre son caractère calédonien; l’approfon- géanticiinal. — Il comprend le Binantien et le Namurien sur ' de Narnur. (base du Westphalien il est surmonté des 3.000 mètres Belges). appelé de houille-r productif, appartenant au Westphalien stricte sensus. Le Namurien contient chez nous, cependant, quelques maigres couches de bouille. Le Dinantien, sauf exception déjà signalée pour le Brabant, concorde sur le Dévonien. Il s’est en assises puissantes, comportant surtout le «calcaire carboniièren. déposé On est en phase géosynciinale caractérisée (puissance des sédiments, répartition (les faciès) et les géanticlinaur limites n’ont dû émerger que tout à la fin du Dinantien. (Le Dinantien s’étend l’absence de Ceci et Brabant et couvre en galets explique Ardennes.) partie jusqu’en Angleterre «largo et plus aussi houiller sensu-n, sans houille par les a dévoniens dans le bouiller. Le Namurien suit le Dinantien Namur par les couches suivantes : Assises de Bruilles ——— Assises de Flines = sans changement l notable. se traduit dans le synclinal grès d’Ardennes, analogue au omiilstone gritea. continent, Ainsi, pendant que le grand géosynclinal hercynien fosse s’est formée, par un mécanisme analogue à la propagation d’une vague. Nous allons son de schistes noirs à nodules; donnait naiSSance à évolution au cours de l’épisode houiller'. un Par avant»- mam- ' de veines, notre bassin houiller faciès, flores, faunes, puissances les bassins de Grande-Bretagne, lrlande, Campine, fi une ses etc. Tous Air-lawûhapelle, s’apparente le au Nord bordée unité même à une par ces bassins doivent correspondre géosynclinale, grande du Massif du alors au centre se du Brabant L’anticlinal Pays continent Galédonien (fig. 7). joint et Brabant entre Le bras de une rivage de Galles, pour former une île ou géosynclinal presqu’île. Nord est également entrecoupé de petites îles à caractère géanticlinal. Ceci dit, cherchons à préciser le relief du synclinal Sud. On constate que la série houillère contient des galets cristallopbylliens, où le ieldspath n’est continent dans le Il avait M. de donc, du Sud altéré. viennent Ces Barrois). y (études pas galets nous ne retrouvons plus d’ailleurs (rapport et des formations Sud, granitiques que gneissiques ne sup— Comme le en de micaschistes constatée avec la ieldspatb profondeur}. possible présence le voit on forte sont de les taille, comme que sans altérations un lOBg transport, galets porte pas les couches bien entendu du bassin actuel Sud que (en supposant rivage Sud était voisin du bord sont se les mêmes conclusions A ce impasses ultérieurement pbssées scient développées}. SUJBÎ, et Ardennaise r'ves les du Nord. Ainsi venaient on a trouvé que les galets le où Yorksb'ire, pour des avec assez Calédonienne du Grand Géosîfnclinal (fig. 7) étaient probablement escarpées, avec I le Brabant une 2. LE Grenouirnns STÉRILE. 3. LE Wssrrnsmsiv. î d'inantien y discorde légère régression dégageant (le le Frasnien). Cette zone accuse déjà un caractère géanticiinal (fig. 6—3). Le Boulonnais voit les mêmes phénomènes; il s’apparente au synclinal La {in du Dévonien voit tenant étudier ä 47 deltas torrentiels. Par contre l’île du Brabant devait être palustre. Le géosynclinai devait avoir un une vaste plaine marécageuse, couverte de niveau d’eau voisin de celui de la mer; en végétation effet des‘niveaux