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60‘. BASSINS HOUI‘LEERS. a n S en phisc socle. bassin partie le externe on mon a C est 1 q ‘. h «H sans mie cul I 1 métros a n, o ‘ q V bordure Nord du continent æ est À‘ l en franco-belge. ette de cette cordilbere ‘ r. o C ., . , ' ou formé a1n51 Sudetienne que bassin narroeiiorrain. 1 lNespiïaloi—Stophamen ce . 1 . , _ " LORRAINE. .. trouvait la se que déposes les , sont se ' l ‘ F dépres— . :Le (il. ' des trouve" débris; Westpliaiiens, y Un n’y trouve que 9 mètres île géosynclinaleî.‘0n ébauche de selle palatine. de 'la‘ phase reprise cette première une venant de l’érosion de mètres de sédiments. Lc'stérile est ici à couleurs vives“. Le‘s’toches détritiques sont très fréquentes. il y a des schistes bariolés à coquilles lacustres, des calcaîi‘ès, défi grossières la à favorable C’est une houille; la base. dolomies. 'Gn'ne trouve de Tonstein qu’à période peu avec lessivage constant des continents désertiques adjacents. . plumeurs stéphanien‘voit ' kilo— houille dans o .0 oo ' 2. il défaut de connaissances sur la base de la série, on ne sav-"ir si la encre sédimenta— peut tien a débuté au Namnrien ou au Westpbaiien inférieur {stri'tto—sensu Ûn peut préciser la du bassin et ses variations : géographie On de nombreux conglomérats jnsgn’à oo p. {100 du stérile dans certaines assisesl, à ‘ , trouve identiques à celles du substratum. Bons . \ r = (a. Il; bassin Si 3.000 mètres de Westphalien; fiance-belge. d'où importance ' 1.4.... 1Jiïîonflrpz peut se; seirprir queaquesîeaasia {OÏÎËÉÊÈÏOËÉË ÎËQÏËTÏ au s1 taux de Leverriérite et remarquable. assez résen naer vante granitiques. les plateaux vraient d une _ °°’ m en - ' * Par mu a chimiques, _ encaissants, on les confia“; aursï drn- base de iœ 1 b Q. effilées 1:0 A; {pues Soîsdeaâääîsi , - , a s Ëblassif e Central roches (Gares, gorbtes). ' cm— colmhes es't sera1t la sui— 3 . li a discordanr ue  1,0 Ë 1 1g ne .a es a ast tirons-a “1 m 1 qu west 0m ’ n ' l ’ ues J; 1. ece oui sera Î ‘ j se a en . ‘ -' * - . ° 1 — -. a, r a vcossoir ‘ Zones 1.000 .r' a '. ) aisseur e _ --L-,.., à 111° n a in“. ‘ d ‘ mettes ‘ ’ sur épisode profond. oscillations Les précoce. un ' Le pernnen traduit important. régime changement par pas Stéphanien sur est le discordant, Au transgressri Nord, permien lacustre est analogue au bouillon supérieur. du alors aurait Sud au élargissement global (il y le viens socle. On ne sait s’il en est de même 5. La fin du _| de un ne se "'ï‘mn s — en safrane ' " E. u ’eros1on enlève alors ; Juger par comparaison avec les - r - ‘.n ' - CLÆ. - --‘- ion - . n‘ ' - - ‘ stratigrapbique ' ' - " est de o l elques ' _ l _ Le . I P115587 géosvnclinaie. dn bassin terminal campa:— le plissement ment est énergique (racine cependant que {cancoëaelge :À même _ _-.- o. “’ bassin). .Au par-mien .. o oriente r à laecrete-delanticlinai.I-A I correspondre à ' et devait être plus profonde, permanente. y lagune en la bouille de aussi un profondeur. (le bassin montre léger amaigrissement - r _ . une. doit pas La tein à la base. La ‘ ' 9 "à a ne on «mure. l eau maxrmum. de licite (base du sur le conglomérat Stephamen) du ce passage d ailleurs Les, mouvements (E‘aulquemont), genres on à lesistence sas: n ne sont marginal franco-belge rcnt de répercuter en Serre et Lorraine. il v formation embrvonneire ï irouilléres, voit des alternances de veines et de stérile à iacies " ' Haäien Lt .îpei täanchee éâi {r av nsgsanâlvoä U. äu. si? ascle papoxjsme sans 0. asêez gwànfle é :3313. dîle 10ans:- peut mon gus dacmoïäïp OÊI 1P la airéter, en;in n'a ancre on I mètres, les coaches étant formées «toits. Le passage latéral parisis .f I ’ plus le vers _ lis Yrsontsouvent à volcaniques. en / donnait 90m6 -°=° d a une cendres de l’eau du niveau émersio'n Elle a été fréquemment arrêtée par une du Nord. le Bassin dans brutales moins ._ étaient moins amples, que houillère la sédimentation Voisins de souvent (association Les épisodes les plus profonds sont et des cendres de houille); des Tonstein de composition. Tonsjïein—couches debouillc, analogie la de allochtone houille, en formation de théorie avec une bien s’accorde partie En tous cas ceci le autorise et des lors houillers, mélange des une émersion globale épisodes qui n’exige pas et minéraux en proportion variable. sédiments végétaux Tons— de un ’on connaisse encore peu qu y Pour le Stéphanien, les conditions sont différentes, sous 1e:ÏÎÏÂËÉËÂÏËSËZIËÏÊŸËËËËÎÊËÎËËËËÎÏUËËEt—ÏΟW pon profondeur raren 350,11 en centimètres à varient de formation des stériles ces origine la teneur stigmarias. de augmente plus parfois continue lae‘ toit de s - reg?“ avec : stratifiés, avec ' tout étant 6 sont mal plusieurs quelques puissances de plusieurs veines avec sillons stériles, de isoles «mura ou an stérile slobserve parfois {troubles locaux lors de la sédimentation). brusque au détriment. de la houille. intercalaire stérile lits de Les s’épaississent progressivement du Nord. le bassin dans moins aient été du sol rapides que Il semble qu’ici les mouvements de souvent montrent radicelles, les est toits, forte, des percés La densité“. plus épisodes productifs à celle du in“ de 'Ort'e'PmPŒtmn ° a substratum. .Son son ‘ in ira ‘ Les l’action des agents atmosphériques, se cou— qui, lors des montées exceptionnelles du niveau des eaux était le dépôt, dans des conditions profondes et calmes, des épaisse arene repères stratigrapbiques, ,t' I‘gli‘ elel' elmelsj contmmtädç et leur ue assez lyaprès les études pe ’il rograpblques : Èrrachée chimi ' ° I à 'r d composition comme les toit. . ici de niveaux marins 1 acuS' e, sa. de comparable ‘= “ Comme (la.m le Nord, la veine, avec la même stratification fine des ,récurrences de. la subsidence. -— Duparq-ue s’appliquent.“ ' a formation de ' 1 ments. - Nord. du comme étudiée d’être La. est loin écaille. bassin é pour'le question î oo de Bd. il. Gomme 25 tous de ont «de eut-inca. lis sont du Les charbons connus p. plus type de savoir si les théories ne on Sud du ni le bord bassin, on ne sonnait ni le bord Nord, peut la subsidence oléo- galets quartz synclinsle, comme dans le Nord, correspondait une montée géanticlinale des C ordiüiéres cot‘éi‘es. la nature granitiqne ou de certains galets montre eue la venue U Urani— plus, métamorphique En et le tique métamorphisme subséquents furent antébouiilers. Les galets sont rarement empruntés au terrain houiller, à. du Nord. L’orooténése était l’ooposé un phénomène très continu, dont nous saisissons sur le vif desl phases plus violentes et qui se traduit pour les bassins bonillers une subsidence connexe des montées par géanticlinsies latérales somme un très ample. Dans les synclinamr internes sur un socle plissement logés déjà plissé toute et comprimé, c’est seule manifestation en calme. orogénique période la Pour les dépressmns externes à substratum formé de roches neuves et souples. l’aiiaissement ne ra géosynclinal pas sans déformations de détail, produisant des émersions suivies de ravine— et aussi de roches (le ' ‘ = Saalie'n le parosvsme moyen, La les rez. panacée dnänd coupes}. tintin-si le flan; and laminé-{faille met en reiet direct. terme à la période dissymétnqnes. Parisis Serre). Localement, cela=va-j,nsqu’on charriage. traduit par décompression :costoz-ogéniqne correspondent sales, un antic insu; A la les nombreuses tailles dit-actionnelles et transverä-