Statistique de l'industrie minérale et des appareils à vapeur (1951) [Image 93]

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l70 Cc qu’il faut entendre par La seule définition adru' mistratwe de la de laï‘ttcte 1 du décret du 12 ' ' - quallficatlon d’une eau minérale résulte du deuxième alinéa janvier 1922 portant règlement d’administration en publique application"; '- savon v _ ' l’dnl"." Îautïl atout mots, saourceadüäïcpphîlrîîptàtces 1905, à ion . et I ‘ réglemente vlgueur _ l aux eaux . A toutefois 0,n d autorisation. a en g l continue fane a en . Cblorurées sadiques , l’Industrio minérale de l’année 1882. Depuis cette époque, les renseignements \ aux actes administratifs dans la. Statistique de concernant les eaux minérales (autorisations, retraits, etc.) Ont été relevés et publiés chaque année dans la Statistique de l’Industrie minérale, et une enquête complète a eu lieu tous les dix ans, portant non seulement sur les sources autorisées, mais aussi sur celles qui, non encore autorisées, étaient déjà. en exploitation. C’est ainsi que la Statistique des Sources minérales arrêtée des sources, la désignation des départements et des communes la situation géologique des points d’émergence, la nature et la que les nombres de malades, baignoires, piscines, bouteilles, 1'”: juillet 1892 contient la nomenclature où elles sont situées, les noms des exploitants, au . eaux, _ . dans la statistique les sources minérales exploitées qui ' sont en instance nous . . . . . . . ... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Cations CÛ3H Na (la la . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C03H .. S 5 .. .. — _ A ' et et — ' S’il)a 5903 30‘ 50’ Cl- ' . . . . . . ... . . . . . . . . . . . . . . . . .. ' . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Outre du élérnenta, du iarsemc, . ........l..... . . . . . . . . . . . . . . .. ................. : ànions ‘ . — fi — - + + "' Cil + lia + C?! + Nâ" — — 'l' + :— minérales du magnésium, du fer, du brome, de l’iode, de lithlllm, strontium, du radon, des composée non dissociés tels que la silice, l’anhydride borique, l’anhydride carbonique, l’acide sulfhydrîque, etc- Nous n’avons retenu parmi ces éléments, pour notre classification, que le fer (eaux ierrugineuses] et le radon (eaux radioactives, voir ci-après). on ' j: 3., trouve dans les eaux .i-Îu Nous n’avons pas considéré dans nos statistiques le résidu sec. Mais voici, sans qu’il y ait une relation absolue entre les résidus secs et les résistivités, quelques ordres de grandeur très approximatifs: Pour les eaux distillées et les eaux douces, le résidu sec à 180 "C est compris entre 0,000 et 0,2 g/l, la résistivité à 13 “C varie en sens inverse, de plus de 350 000 :‘il‘nnusfcm/cm2 ä 2 000 obms/cm/czng, et la con- ductivité if inverse de la est donc inférieure à 500 mhos X 104. Pour les eaux faiblement résistivité) minéralisées, à un résidu sec de 0,2 à 1 correspond une résistivité comprise entre 2000 et 1000 et une conductivité comprise entre correspond une ment 500 1000 X 10‘“. Pour les eaux moyennement minéralisées, à un résidu sec de 1 à 5 résistivité de I 000 à. 150 et une conductivité de 1 000 à 6500 >< 10‘“. Enfin, les eaux. forten minéralisées présentent un résidu sec de 5 à 40, une résistivité de 150 à 10, une conductivité de 6500 à et 100 000 X 10‘“. des eaux, leur débit moyen, ainsi caractérisant l’activité des établissements- température etc. statistique publiée remonte à 1932, celle de 1942 n’ayant pas été établie du fait de la guerre. Sa présentation est analogue dans ses grandes lignes à celle de 1892, mais, alors que le volume de 1391-1892 renfermait une carte des sources minérales et des établissements thermaux, la statistique de 1932 se réduit à des tableaux, sans carte, Par ailleurs, deux nouvelles rubriques concernant respectivement la résis- tivité et la radioactivité spécifique des eaux ont été ajoutées. sources rrtinér‘aies à la date du 3]. décembre 1951 Les travaux effectués sur comportent, comme en 1932, une statistique détaillée {les sources minérales exploitées ou autorisées, avec un résumé général donnant par département le classement. (les sources d’après la nature chimique des eaux et d’après leur ter. pératura. Ce. nouveau recensement indique également la nature et la profondeur des captages ainsi (les En le et la radioactivité débit spécifique gaz spcnlanés. outre, la Tunisie et ic Maroc font, comme que l’Algéri l’objet d’un recensement. Enfin, des cartes rendent compte de la répartition géographique des Température Ides La dernière La mais là température -— constante en toute saison sources d’une minérales minérale constitue facteur important. qu’arbitraire. Cependant, pour donner une afirrécicîion, on généralement oligométallîque ou chlorurée sodique et qu‘une — source un classification ne peut être peut admettre qu’une eau froide (0 à 15 °C) est eau chaude ou thermale [plus de 30 “Cl est généralement polymétallique. Les eaux froides sont diurétiques et employées en boisson et en bains. Les eauxtbermales sont antalgiques et antispasmodiques, employées en bains et en; inhalations. Les eaux tempérées (entre 15 et 30 °C]I participent de ces divers caractères. encore une - Radioactivité des Do nombreuses , SÙÎJI'CES. ' l . Ë -"î . relatifs in qu’elles ces en publiée l _ n’avons pas utilisé une classification médicale faisant intervenir le tel ou tel elernent, mais la classification chimique généralement adoptée. Le tableau les grandes categories de sources et les principaux anions et cations renferment ces ...... évidence leur concentration dans les régions montagneuses, fut I ’ ' - r figurer Sulfurées et sulfureuses sodiques Sulfurées et sulfureuses calciques Suliatécs sodiques Suliatées calciques Parmi les nombreuses données contenues dans cette des sources et des établissements, celui des baignoires et piscines, celui des malades, une classification des sources d’après leur caractère médicoscbiruiquc prédominent [eaux sulfureuses, alcalines, ferrugineuses et salines], une liste des sources autorisées. De plus, une carte à la fois géographique et statistique des eaux minérales de France, mettant l es condmons Francs l Fardes 16’s ' ' ‘ 0s Algérie au l.” juillet 1882. publication figuraient, outre le nombre France et ' Classification L’Administration française des Mines avait publié peur les années 1840 et 1844: une statistique‘et description (les sources minérales connues en France“. En 1883, elle fit paraître une Statistique détaillée autorisées ' prot’ünfim Ë’L'Eîe ' Historique ou thérapeutiques, ou . Bicerbonatées sodiques Bicorbonatées calciques exploitées minérale naturelle» e eau . I Eaux des Sourcos minéralæ douées de propriétés a ’ ,_ indique une 2., sont .Pour caractériser de ppuvotr tuerapeuthue c1-dsssous i sa); r en 0;) minérales seaux autonsée, par décision ministéri ele l dans I . île aussi MINÉRALES FÊANÇMSES a'r AFBIQUE ou NORD} roserVees ' données par arrêtés ministériels {e t non décisions préfectorale-al “ris par p.1- dans le décret du 30 avrll 1930 modifiant prévues par 1851301'12165 l’ordonnance du 18 juin 1323. li y a lieu ', nombre de sources minérales ont été, peut signaux qu un par décret, déclarées d"etér3'r prclr'c ce sont es seules qul puissent etre dotées d un perimetre de protection, tel qu’il est prévu par in loi du le juillet 1356. tèît‘iTESTIQUE {passerons ' s. Les'sutorrsations ses sources sont l en «’Les’denorumatmns . été a - . ’ un.“ r minérale eau traces recherches, de matières radioactives dans eaux minérales particulièrement remarquables, l’atmosphère; ont indiqué la présence universelle de dans l’eau des fleuves, de la mer et des sources minérales;