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EXTRAITS DE JOURNAUX.
CHIMIE.
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n'est que de xo pour Io°.
Quant au borax demi-
raffiné, on le purifie en le dissolvant sur-le3 pôur champ, et ajoutant à la dissolution 2laà qualité ioo de muriate de chaux, suivant du sel.
defér ; par
Sur le prussiate triple de potasse et Chimie, Thomas Thomson. ( Annales de tome VIII, p. 43o.) 2835. La pesanteur spécifique de ce sel est dedevient et Expose à la chaleur, il perd de l'eau chaleur, il ne que soit la blanc : quelque intense perd point tout son acide. A 120 100 parties disd'eau dissolvent 27,8 de sel, à 95°, elles en solvent 90,6. le L'acide sulfurique concentré le blanchit,dédissout, et si on chauffe il se décompose en gageant un gaz d'une odeur particulière, qui foncé. Ce brille avec une flamme d'un bleu densité est de gaz est insoluble dans l'eau ; sa d'oxide 0,995, et il est composé de 3 volumes de carbone et un volume de gaz hydrogène condensés en 3 volumes. L'acide nitrique concentré et bouillant finit tripar décomposer complétement le prussiate et de potasse de ple: il en résulte du nitrate portion du fer se vol'oxide de fer; mais une latilise lorsqu'on chauffe le mélange. Le sel est composé à-peu-près de : Acide. Potasse Eau.
Fer métallique. . o,15oo
.
0,4590
.5i. Matière gazeuse . 0,5090 5
0,4164 0,1500 1,0054
I 15
Sur l'alun de soude. ( Journal de Physique, tome LXXXPII , p. 307 . ) M. Zellner a découvert un sulfate de soude et d'alumine qui cristallise très-bien, s'effleurit légèrement à l'air et se dissout dans le double de son poids d'eau froide; ce sel est coMposé
Alumine Soude. Acide sulfurique Eau
0,240 o, r4o 0,545 o,o74
0,999
Sur la précipitation des métaux les uns par les autres, de leurs dissolutions acides ; par M. Gay-Lussac. (Annales de Chimie, t. P. 219.) M. Brug,natelli a proposé un nouveau mciyen
de faire des alliages métalliques, qui consiste à plonger un métal dans la dissolution de celui avec lequel on le veut allier, quand la précipitation est possible. M. Gay-Lussac pense que ce moyen ne peut réussir; que, excepté les cas
où le métal peut se combiner à froid avec l'autre, comme cela arrive pour le mercure
avec l'argent et avec le cuivre, le métal précipité est ordinairement pur; et que lorsqu'il paraît allié, ce qui n'est jamais ,qu'en petite quantité, il ne contient le métal étranger qu'à l'état de mélange., Il fait observer à l'appui de son opinion, que l'argent précipité du nitrate par
le cuivre est très - pur; que l'on sait par une longue expérience que lefer et le zinc précipitent
H2