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nouvelles données à cet égard ; néanmoins il
possible que M. Prevost ait raison
est
d'y citer de
grosses bélemniteS , et que les productus de
berg y appartiennente,Quant aux schistes l3leymarneux à impressions de poissons il me semble, malgré ce qu'en disent MM. Keferstein et Euelclanct,, qu'on n'a pas encore bien développé les raisons qui séparentede notre formation les schistes à poissons du Plattenberg , et qui y lient au contraire les schistes bitumineux à poissons de Seefeld (1).
Les-masses étrangères qu'on rencontre dans le premier calcaire secondaire des Alpes se réduisent à quelques colonnes pphyriques , qui paraissent d'une manière fort problématique au milieu des calcaires de l'Allgau , à Ebna , près d'Oberstorf,, vers la hauteur moyenne de h Geisalp, au-dessus de Reichenbach, et sur le pied occidental du mont Jochberg, près de delang.
HM-
Ces roches feldspathiques, plus ou moins dures et ferrugineuses, y sont brunâtres ou rouges-brunâtres; elles renferment des cristaux de feldspath
et des parties verdâtres peut-être cristallisées (. Hinclelang ), et elles sont traversées de veines de chaux carbonatée et d'une matière indistincte, onctueuse,verdâtre. Plus rarement, on y rencontre quelque peu de mésotype et même de la datolite, associée avecclu fer oxidé rougeâtre, qui forme, à la Geisalp , de petits filons, ou imprègne très-fortement certaines masses de la superficie de l'amas. C'est à Hindelang qu'on peut sur-tout bien (') Voyez ce qu'en dit Pince dans les Éphémérides dc Mou, vol. 75 .
485 qui ignées , de ces colonnes la forme de la même observer avoir percé le calcaire paraissent se sont fait jour à trannuière que les basaltes d'Eisenach ; néanmoins ou vers le 'grès bigarré avec le cal DES ALPES
TERRAINS SECONDAIRES
ALLEMANDES.
apercevoir leur contact n'y trouve moins si 'on l'observe, on indice de ces altérations qui paraissent aucun semblables bien plus conexister près des masses enclavées dans la même formation sidérables, et
ne peut pas du caire,ou
calcaire du
Tyrol.
métallifères de l'assise tout- à-fait consistent en minerais de plomb et inférieure le plomb sulfuré plus rarement de zinc. Comme les produits les et le zinc sulfuré et oxidé sont comme ailplus abondans , il devient probable, minerais, qu'ils leurs, par la position des autres procédés effets que des ne sont que le résultat des minerais princhimiqueslents ont exercés sur les encore un peu de plomb cipaux. Ainsi, on trouve sur-tout dans des druses, carbonaté et phosphaté veiniforme, etc. du zinc carbonaté géologue, des Ces minerais forment, pour le de petits amas ou de réseaux nids ou des traînées comme les petits de petits filons, qui présentent, retroufilons en général , les accidens que nous vons en grand dans les grands filons exploités. C'est ce que M. Mohs a admirablement exposé mais dans sa Description des mines de Bleybeig; le mineur qui ne voit que les fentes richement remplies et qui néglige les petites fentes pourvues de peu de minerai y trouvera néanmoins çà et là des filons assez persistans et assez riches pour mériter, pour lui, le nom de filons. Les localités de ces minerais sont -fort nom; on en a sur-tout reconnu breuses dans Les dépôts
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