Annales des Mines (1824, série 1, volume 9) [Image 270]

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A TONNEAUX.

MACHINE SOUFFLANTE

(luire, pour pouvoir meure cette différence le compte de l'imperfectiorf'ordinaire des Rn constructions usitées dans nos en ce qui concerne l'orifice desusineibtaient buSéS! Les parties de la machine de R.atis,

servant à la

Ira tismissibe du mouvement',' pourraient kit simplifiées et améliorées. Les bielles fixées à des points des tonneaux, tels qu'ilserat sultât de plus grandes oscillations, et leur aie bout serait immédiatement adapté à des mae velles placées aux deux extrémités de farbrde la roue hydraulique; on supprimerait enteedonnées dans la note précédente ; différencions »gmégâ.,. loris la différentielle à zéro, on aura, pour le cas dudtrei, muni

14/2'

176 /z

22,4

o,536

nient les roues ,,dentéetAut ne servent qu'à artginenter,les froneweps,;et à.. donner à la roue bydrauliqtiçown,y108çequi: Aimititie con sid érablement son effelio

Mais c'est dam4',e,Wgissement de cette roue qu'onernble s'êtmattàché à commettre toutes so,ç'çdefautes. pn avait 4!?,0 de chute, et on à la r eque 1,7,95 , et on lui a fait

Miné È*(siltOpte - trois' tnurs par minute: péchant ici d'ytrnanière grossière contre les règles, qui

qu'on donne aux roues à chute supé-

neur4e plus grand diamètre possible , et qu'on

lentement possible. On aurait aisément pu donner à celle de Ratis 3m,50 de les meuve le plus

diamètre, et ne lui faire faire que six à sept tours au plus. Dans cette hypothèse, et pour produire nos 3o kilog. d'effet utile, il n'eût fallu que o,o 33

mètres cubes d'eau (1). Lors même qu'en aug-

d'où

h = 0,0206. Nous avons supposé que l'eau de l'intérieur des tonneaux présentait constamment une surface plane et liozoritale , et que, dans ses mouvemens , elle était comme fixée :au tonneau ; mais il n'en est pas réellement ainsi. Lorsque, au commencement d'une oscillation , le tonneau change de direction , l'eau ne change pas au même instant ; en vertu du mouvement déjà imprimé, elle continue .à se mouvoir et à s'élever dans la direction première, puis .elle revient et baisse brusquement ; elle oscille continuelment, et ses oscillations ne sont pas-enrapport avec celles du tonneau. Cette discordance se manifeste à l'extérieur on y voit le tonneau marcher non d'un mouvement continu, mais par une suite de légères secousses et comme en tremblotant. Cette même discordance, et l'impossibilité où l'on est de connaître la position de l'eau dans les diverses circonstances du mouvement, ne permettent point d'établir une théorie rigoureusement applicable à la pratique.

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(1) Soient :

3o,00 kilog.

Effet produit

E

11=- Hauteur verticale de l'arc de la roue chargée 'Peau.

3,00 mètr.

-= Hauteur de la chute , jusqu'au point où l'eau atteint la roue, minimum. . . . o,6o rnètr. Vitesse de la roue, faisant 6 tours et demi

par minute (rayon mécanique=1,55). Quantité d'eau dépensée en r

Q

,o6 mètr.

on a, d'après M. Navier,

Q=

1°,4 kil.

H-F-12_( V 2gh-

g

suivant d'autres

Q=

1

13,3 kil.

V 2,44-4 La première de ces formules, qui me semble être la vraie