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SUR LES MORTIERS..-
supérieures que les terres argileuses acquièrent par une torréfaction de quelques minutes sur une plaque de tôle rougie , 'puisque les briques
,
923 dans une deuxièMe série, ils ont été placés dans un four bien olaauffé au rouge , dans lequel l'air SUR LES MORTIERS.
pouvait circulier;. et ils y sont restés le même
mal cuites donnaient de mauvaise pouzzolane (1), attribue ce résultat au contact de l'air, et il assure que ses propres expériences ont Complétement.
temps que40.0s,Jla première série. Enfin, dans la troisieme.TserieÀ'èxpériences , les essais ont été placése0:oontact: avec des charbons de bois. On
confirmé cette induction. IF croit que la même cause produit un effet analogue. dans la cuisson des chaux hydrauliques factices: Pour prouver cette dernière assertion , il a fait trois séries d'expériences sur des mélanges de plusieurs espèces de chaux communes avec leur maximum
a aserve_ dans, chaque série d'expériences et
de terre. Il a réduit ces mélanges
en -plaques
dàle demi-pouce d'épaisseur; la moitié de
ces
plaques a. été séchée au grand air, jautre=irmitié
a été employée encore humide. Pour ce S der,nières les chaux produites étaient de mauvaise qualité; quels que fussent le procédé et le degré de-cuisson; et Ni. Raucourt a conclu fallait toujours faire sécher les chaux hydrauliques factices avant de les cuire : c'est un fait bien connu. Voici le détail des expériences faites sur les pâtes séchées à l'air : dans une -première série d'expériences, ces essais ont été brisés , réduits en
parcelles de la grosseur d'un pois, et successivement -placés sur une plaque de fonte rouge d'environ une home (l'épaisseur, pendant un quart , une demie trois quarts et une heure; ,
,(i) Ce fait est bien loin d'être aussi général que le pense g;Raticourt; car M. le colonel du génieTreussart a prouvé qtie ceitaines briques mal cuites donnaient d'excellente pouzzillarie , qu'il suffisait pour cela qu'elles continssent quelques centièmes de chaux.
après la cuisson ;:la couleur des essais, leur consistance , la diminution de volume , la chaleur degagée,,etIleiterrips de la prise. Les diminutions de volume et la.. chaleur dégagée n'ont pas fourni de résultats dont on puisse tirer quelque cooclusion utile - les changemens de couleur anriOncent que le 'fer contenu danS, les essais a passé par tous les états ,d'oxidation et que celui de peroxide est le plus: favorable et la consistance des chaux cuites 'prouve que:
les chaux ne doivent pas être vitrifiéepour. donner de bons produits ce dernier faitest
connu de tous ceux qui ont fabriqué de la chaux. Les mêmes séries d'expériences ont été faites
avec des mélanges de chaux moyennes et peu hydrauliques , et ont confirmé les conclusions précédentes et la plus essentielle qui me reste à citer ; savoir, qu'un premier degré de chaleur,air rouge seulement, et le contact de l'air préparent les parties constituantes des chaux de la manière la plus favorable pour qu'elles forment promptement corps dans l'eau. M. Raucourt , en rapprochant les observations qu'il a faites -sur le changement dè' couleur de ses essais, selon les divers degrés dé cuisàOndes expériences faites sur les mélanges de la,chaux , soit avec la silice en gelée, ou d'autres bases fer-