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EXTRAITS DE JOURNAUX. CHIMIE.
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la CONDUCTIBILITÉ DES PRINCIPAUX MÉTAUX ET DE QUELQUES SUBSTANCES TERREUSES; par
2. Sur
M. C. Despretz. ( An. de Ch., t. 36, p. 422.) T'ai trouvé les rapports des pouvoirs conducteurs de la chaleur des principaux corps tels qu'il suit Or., .
t000,o Platine. 981,0 Argent. . 973,0 Cuivre,. . 898,2 Fer.. . . 374,3 Zinc. . . 363,o ,
Étain. Plomb Marbre Porcelaine.
303,9 179,6 23,6 12,2
Terres des briques et des} 11,4 fourneaux.
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en fer B et C permettent de séparer le ballon du tube, sans que, par cette séparation, ni l'un ni l'autre ne communiquent avec l'air extérieur. La branche verticale D E du tube de verre est terminée par un réservoir F, rempli de mercure bien desséché, dans lequel plonge l'extrémité du tube, et elle porte une échelle divisée en millimètres, avec un vernier qui donne exactement les dixièmes. On remplit le tube et le ballon du gaz sur
lequel on veut opérer, et l'on a soin que ce gaz reste dans l'appareil à une pression moindre que celle de l'atmosphère, afin que le mercure puisse monter dans le tube de 8 à Io cen-
timètres. On visse le ballon au tube, on ou3. Recherches sur la CHALEUR
SPÉCIFIQUE DES GAZ
par MM. Delarive et Marcet. ( An. de Ch.,
t. 35, p. 5)
Plusieurs physiciens se sont déjà occupés de et ce sujet, particulièrement MM. Delarocheobprésenter quelques Bérard; mais on peut jections sur la manière dont ils ont fait leurs expériences : nous avons tâché d'employer une méthode qui frit à l'abri de toute inexactitude. Le principe qui sert de base à notre procédé consiste à exposer des volumes égaux de différens gaz à une source de chaleur égale pendant un temps fixe, et à juger, par l'augmentation de la force élastique de chaque gaz, la température qu'il possède au bout de ce temps fixe. L'appareil n'est autre chose qu'un manomètre.
, Un tube recourbé en forme de siphon, Pl. petite branche, un balporte, à l'extrémité de sa lon A, que l'on remplit de gaz ; deux robinets
vre les deux robinets et l'on note la pression. Actuellement, une légère variation de tempé-
rature fera abaisser ou élever la colonne de mercure, et rien ne sera plus facile que de déterminer la température d'après la hauteur de la colonne, puisque l'on a 1= (p 1
(a
a ) (0,00375) 0,00375 X 2
( 0,00375 X )
( pa )
( 0,00375),
dans lesquels I représente la grandeur de chaque degré centigrade à une pression donnée ;
n le nombre de degrés correspondant à une différence donnée de hauteur ; p la pression barométrique ; t la température à laquelle on observe ; a la hauteur de la colonne dans le tube à la température t, et a' la hauteur à la température inconnue. Le ballon , amené à une température uni-