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C,I
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CHIMIE. Pressions indiquées
par l'air, om,810 210 ,243.
. 3'1,975
EXTRAITS DE JOURNAUX. Pressions indiquées par ic gaz hydrosulfurique. (.0n,Sio 210,293 410,020
5'117789
61.4 ,
1 oin,837
8m, o58 1201,018.
7a, ,568
MM. Oerstedt et Suenson ont soumis l'air, le
cyanogène et l'acide sulfureux à quelques récherches, dans le but de reconnaître si la loi de Mariotte était conforme à la vérité; et ils ont trouvé que cette loi était fondée, mais qu'il y avait des anomalies près du changement d'état. Je pense, d'après mes expériences, que tous les gaz, étant comparés à l'air atmosphérique, donnent, pendant tout le cours de la compression, une diminution de volume plus grande que celle que donne ce dernier.
7. Sur la comPREsstmuTÉ relative de différens LIQUIDES; par M. Oerstedt. (Edimb., Soc., 1827, p. 20 I. )
Jusqu'à 70 atmosphères, la compression de
l'eau est proportionnelle aux forces compri-
mantes et d'à peu près quarante-cinq millionièmes de son volume par atmosphère.
La compressibilité du mercure ne dépasse
guère un millionième par atmosphère. La compressibilité de l'éther sulfurique est à
peu près trois fois celle de l'alcool, deux fois celle du sulfure de carbone et une fois et tiers
celle de l'eau. La présence des sels, des alcalis et des acides dans l'eau diminue sa compressibilité.
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La coin pressibilité du verre est extrêmement petite et lnen inférieure à celle du mercure. 8. COMPRESSI N DES LIQUIDES et DES GAZ par des
forces considérables; par M. Perkins. ( Trans. philos., 1826, p. 541.) Les expériences ont eu lieu dans un cylindre de bronze d'un pouce et demi de diamètre et de 6 pouces d'épaisseur. On a trouvé que, sous la pression de 2,000 atmosphères , l'eau éprouve une diminution de volume de -A-.
L'acide acétique concentré se transforme en une belle cristallisation sous la pression de 1,100 atmosphères. L'air commence à se liquéfier sous une pression de 5oo atmosphères.
L'hydrogène carboné commence à se liquéfier sous une pression de 4o atmosphères, et à
1,200 atmosphères il perd en entier son état gazeux.
Le verre n'éprouve aucune diminution de volume sous la pression de 5oo atmosphères. 9. Mémoire sur la COMPRESSION DES LIQUIDES;
par MM. Colladon et Sturm de Genève. (An. de Ch., t. 36, p. Les expériences multipliées que MM. Colladon et Sturm ont faites, à l'aide d'appareils fort ingénieusement disposés, les ont conduits aux résultats suivans : La contraction cubique du verre est de 3,3 millionièmes de son volume pour une pression d'une atmosphère de 001,76 de mercure à Io° C. La contraction réelle du mercure ( en ayant