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1,LATEAU CENTRAL DE LA FRANCE.
ces porphyres passent à des roches verdâtres à cassure conchoïde analogue au pétrosilex. Ces
TERRAINS SECONDAIRES.
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observer; tantôt, au contraire, ils paraissent cons-
tituer des masses interposées dans le terrain de
roches verdâtres renferment des rognons, des veines et de petits filons de quarz-agate et de qua rzjaspe , circonstance qui leur donnent une grande ressemblance avec les porphyres du grès rouge. Elles présentent quelquefois des amandes calcaires et passent à des amygdaloïdes. Ce porphyre a quelque ressemblance avec la diabase; mais il est plus âpre au toucher, et présente plus d'analogie encore avec les roches qui forment des d'Ires dans le terrain houiller des environs de Newcastle. Les porphyres que je viens d'indiquer, ainsi
grès.
forme prismatique, peu régulière à la vérité, mais dans laquelle cependant il est facile de distinguer les faces. Les prismes ont .8 ou Io pieds de hauteur et sont plus généralement à quatre faces. Les porphyres dont je viens de donner la description occupent un espace assez considérable; ils se montrent entre Flagnac et Saint-Micheld'Aubin, très-près des houillères de Firmy, et se
étendue, il paraît former une couche régulière au milieu dû terrain houiller ; mais, en le suivant sur toute sa longueur, on voit qu'il présente des,par-:. tics saillantes, qui s'avancent dans le grès, les;quelr: les sont disposées de la même manière qu'elliedevraient l'être si le porphyre avait détruit le .grès sans lui faire éprouver de déraiigement. En effet, les couches de grès que l'on a observées d'un côté de ces avancemens de porphyres se retrouvent de l'autre à la même hauteur, circonstance qui.;,est très-prononcée par les bandes de galets de différentes grdsseurs que l'on voit dans le grès. D'après cette disposition , on pourrait, il est vrai, suppa-s;
que la roche verte, affectent quelquefois une
retrouvent presque continuellement jusqu'à la Capelle, située à. plusieurs lieues de distance; ils forinent le plus souvent le bas des vallées , de manière -qu'on ne peut observer leur partie inférieure; ils sont alors recouverts immédiatement par le grès, et ils paraissent, dans ce cas, faire
partie du terrain ancien, qui ressort de tous côtés; mais, dans quelques cas , on les voit associés au
terrain houiller, de manière qu'on ne peut conserver l'idée qu'ils sont antérieurs à ces terrains. Les porphyres forment tantôt des couches régulières, du moins dans l'étendue où l'on peut les
Pont faire connaître ces, dispositions , je vais
indiquer plusieurs coupes dans lesquelles j'ai observé la relation du porphyre et du grès. 5 24. Près de Figeac, on voit, sur la rive PorPhYreindroite du Celle, une masse d porphyre, qui pa- tercalé.e lée du Cellé. rait intercalée dans le grès. Elle se dessine sur une, coupe verticale, qui forme comme un mur de terrasse dans un desjardins dépendans dela ville ; le porphyre présente une espèce d'avancement dans le grès, comme on le voit dans la fig. r, Pl. VI. Le porphyre est disposé dans le sens de la
stratification, de 4in que, vu sur une petite
ser que le porphyre est d'une formation plus
dernière, roche ancienne que le grès, et que cette dernière s'est déposée dans les parties creuses que
tait le porphyre, de la même manière que l'argile plastique a rempli les vastes dépressions qui sillonnent la surface de la craie ; mais, d'ans conce,. cette supposition, il est assez difficile,