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PLATEAU CENTRAL DE LA FRANCE.
TERRAINS SECONDAIRES.
Au fond de la vallée , et un peu avant d'arriver au village de Planiolles , on trouve un grès
Au-dessus des couches schisteuses, le porphyre se montre de nouveau ; il forme une masse considérable présentant un escarpement d'une trentaine de pieds d'élévation, dans lequel on observe la tendance à la forme prismatique : la nature de
houiller schisteux très - micacé, contenant de nombreuses impressions de calamites et quelques unes de fougères ; il forme des couches minces , qui sont fortement inclinées vers le Sud-Ouest. A quelques pas de là, en suivant le chemin .qui monte, on voit , à sa partie inférieure, une masse de porphyre noir B, analogue à celui que nous venons d'indiquer; un coude, que resesu-te,le terrain, ne permet pas d'observer le centa iienédiat de cette roche noireercht g,rès P"PhY'"1- hki erri.iiinai.,4- la forte inclinaison ries couches teillant avec di.Ye:a-S cette masse noire et le peu d'interle grès. va le quie.s.pare les ,clelps.;.,pgçhte. ne laissent aucun
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de soixante à quatre-vingts pieds de puissance; quant à la masse noire, elle en a douze ou quinze.
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cette seconde masse de porphyre est différente de celle de la première. Il est brun rougeâtre, et contient de nombreux cristaux de feldspath
et de mica. Le chemin montant doucement, on observe le porphyre sur une assez grande longueur; et quoiqu'on n'y remarque pas de stratification , cependant il paraît assez réguliè-
rement disposé. Il présente une particularité fort remarquable, et qui peut éclairer sur 'son origine , c'est qu'il renferme plusieurs masses irrégulières de schiste noir semblable à -;)-Celui sur lequel il repose, et qui y sont disposées comme des fragmens devraient l'être : l'Une d'elles offre des ramifications comme l'indique la fig. 3, Pl. VI. Le porphyre est recouvert par un 'grès à gros galets de quarz, dont la pâte est légèreinept rou-
geâtre; ce grès forme des couches horiZémtales nombreuses et très-régulières ; il est semblable, par ses caractères extérieurs, avec le' grès qui constitue les escarpemens que l'on voit près de Figeac et sur les rives du Lot. La disposiiion ent couches horizontales que présente ce grèls' supé": rieur, tandis que celui qui est plus bas est en couches fort inclinées, tendrait à faire croire que ces deux grès n'appartiennent pas à la même formation, et que le supérieur doit être associé au grès bigarré. J'ai déjà annoncé que ses caractères extérieurs pouvaient également se rapporter à cette dernière formation. 1',
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2. livr. 1828.
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