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TERRAINS SECONDAIRES
tôt bleu et tantôt brun, dans lequel on aperçoit une immense quantité de petits fragmens de coquilles. et beaucoupide- petites parties spathi= ques,rei paraissent être soit clés4ragrrieris encoretigh's petits de corps matins, 'soit des.cristalfiSatkins caleaires qui :-ont rempli des, vides lais-
seftàldes fragmens de corps organises'ilui se
sâii-fidétc:enaposés. Le S couches que forMelecal-
èeirettiritrsouVerit séparées par des' veinules de ' les blocs calcaires sont exposés ilIMPP,Olktte croûte marneuse`ést promptement élitraig@e-Par la pluie et laisse voir la surface-du édfeüeedide , gin présentele plus souverittun
efidePiiii peu ferreux et comme sableux.' On remarqueSdrivent sur cette surface depetites Masses calcaires alongées cylindroïdes, de 7 à
&Millimètres de diamètre, qui y sont fortement adhérentes, et qui, souvent, se traversent-inu tuellethent sous des angles variables; c'est aussi sur leg surfaces des blocs dégagés de lent. 'croûte terreree qu'on trouve les échantillons lesplus nets des feriSiles qui y sont répandus en grand nombre, ritiaiSle plus souvent trop empâtés,dans la pierre;
potiitleiMin puisse les déterminer: 5eaitrotivé adietentes à la surface de quelques-uns de Ces bides entroques, qui, souvent;Sorit en même ternWrépandues en grande quantité 'dans l'intérieur de la masse et qui appartiennent liliformis, à. l'ammonites nodosus, au mytilus eduliformis, à la cypricardia socialis, al' ostracites pieuronectilites, à la terebratula vidgarie isttsubrotun-
da, atiplagiostorna striata et un nrottle intérieur de:coquille univalve.
-On peut voir le muschelkalk très-bien développé dans les coteaux qui se trouvent à l'Est du
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DU SYSTinTE DES VOSGES.
village d'Ormingen, à une lieue Est de SarAlbe , et qui se prolongent très-loin dans,.lesdirections du S.-S.-O. et du N.-N.-E. Si on traverse
in?nte la rivière qui passe à Ormingen, sur les coteaux r, Pl. I, fig. 4, qui forrikiti..le flanc occidental de la vallée, on y trouàjletr assises supérieures du muschelkalk :;ejleopt sisteut en assises calcaires peu épaissesmal.,7 ternent avec des marnes ou argiles leseeije vertes,,qui.paraissent être le commencementfle nrarnes,irisées , et qui, rappellent Complétemee celles qu'on voit , dans la même poSitionw_ai4 carrières de Réhainvillers près Lunéville.Xputes ces couches plongent vers l'Ouest d'une meifir9 assez prononcée. Arrivé an haut de on redescend-assez doucement, à l'OueàVàyess .
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Saltzbrunn Sans rencontrer autre chose eeilo marnes irisées, qui, par conséquent, para49mpt se trouver superposées ail .musehelkalk. Lettl3W!: mem de Saltzbrunn tire Son nom d'uneme salée ,pour la poursuite de laquelle un puitsm été creusé autrefois sous la surveillance:de let-de-Laumont. Ce puits, qui a 85.pieds deeRT fondeur, est -cf,rensé presque entièrement,danne. gypse gris salé, qui ;-appartient à la foreer,4 des marnes irisées,- ertrès-probablementMem,
partie inférieure , et qui, dans -ce cas, serail> quivalent exact des gypses inférieurs et aernme de Vie.
,
A l'Ouest de Saltzbrunn , sur la rive gauc, de la Sare, près de Sar - Albe , se trouve une colline de marnes irisées avec couches subordonnées de calcaire argileux, compacte et caverneux, qui appartient très-probablement aux couches moyennes de la formation des marnes irisées,