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TERRAINS SECONDAIRES
DU SYSTkIIIE DiS VOSGES.
le fond ondulé serait entièrement formé par les marnes irisées , et qui s'avancerait vers l'E.N.-E. dans une sinuosité du muschelkalk. Ce calcaire, qui représente ici le rivage, constitue, sur les bords de l'espace dont nous parlons, une sorte de ceinture qui embrasse à-peu-près les trois quarts de l'horizon de Vie. Quelle que soit la ligne suivant laquelle on se dirige de Vie. vers cette ceinture, on ne rencontrera, avant defatteindre, aucune roche qu'on puisse distinguer de celles qui se trouvent comprises entre le lias et les bancs les u'd, profonds de sel gelme, et on laissera suyeessivement derrière 't-vSones affleuremens de 'toutes ces couches. Les'Iernières qu'on rencontrera prés,yeteront les .. , phis' grands rapports avec celles,,qu, ialternent avec le sel jernme , . et l'on verNauyCutiches Silp erm:,ty,, u muscli elka lk , présentant les fost4 mileèqiium4afracte'ristiques, sortir de dessous lettPallfectiqtrie'rit. J'ai déjà indiqué cette disposigip 29 Tri V 0 1:i h o eià décl.rya.,,Hr i les environs de, Lunéville et wireqiiif-rmiitde la vallée de la-Sare : Ille suifir Iff..) ) r iTtcsell einouir, prouver que It sel gemme de la , 4ede l,k1a; eille forme des masses intercalées )-Yi .,igi9voCli -claDnefgeaseises
- 9P. ,' -des marnesx,t,s4 les plus volJ
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suites -du, mtisshelkalk, auquetplies soit supéKeilM,;-"-eeitt les sépare nettement et compte-91r191U ce, ,10 remet/1U du res.,1?i,garré. Cette manière de les fifeigrl'àEérgéognostione.7. .. ,-..,,uleat discutée
'_pl&T'çe filsie-trig'..fène eie- . différens .géqlOgyes depuis eo/rt,rfanery p' ge - à Vie, en rS2r, a encore
"--Î ruï..z.9- It-.2 .:-.):..o..7, ...,6'
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enrs, faveur no cl - se trouver d'accord avec 1 opinio n que, ,9 eithausen , clé Dechen et de la llochy;-én -1823 , et 1W. Keferstein , en 1825 , ont .
adoptée, de leur côté, en visitant Vie, et qu'ils
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ont appuyée par des rapprocitemens tirés de la comparaison de cette localité avec dés contrées que le n'ai pas visitées. Les faits -exposés ou rappelés dans les pages précédentes montrent que la forn?atiou des .rnarnes irisées eee'rénivrrient cOat'-'ailti.j.kri' S. l. --, ,I.-ro;1 i . , nature, le nombre et l'ordre de suPerpositiôh dis couches qui la eom posent. Sa stratification, généralement très-régulière, ne Se, dérange, .çlaip.s les parties visibles à la sin-face 'hiii.'e..f abep=lèlle
des amas- dé'epkg' qu'elle, reii.leMe18,1,'V:iYelk t
constamment ses couches s'arert se ou' -e'eon tre -I. rusou au 3. ur' ner d'iihe -Manière .souvent '"'elf,-----è. , 32t' )' de ces-'âiikteie. de ' .1--""a tone, ,,,t 't V--11 meance rf "'
Et
1,,?osi ,p, ta.t .1."7 i e re est Y6'iifà' -e-fie:,.Ï.,ân- nana > e1!.es une ci"1"rço?.'
tances Cfni :Vrftent le phis d'étre prise)sil,eeecoel. li., a',F de deratiOhl'a'rre4S:géologues qui-i: ' g. qcciipero rë .. ir,lt,t in lm Ob.. , ',,,.. ,c,. k9`111-e Il ..3C, Élie.-
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gypses que, pres,en nt les mitérieS'Irlàées,'Ë eut--'s eue n y avai thpas elati
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assez d'aliteiilti'Ôklorsqli'On a 'dit en tyéPm`hésszeljn3qraux queltee's-bkYliSes e'taient dus a' l'ej-Dvaenarlit °kali) 2 ,
graduelle 'etne grande massé d'ead4Èdrinee" .t: -
sulfate deafiatfx, hypothèse '4Ui ifaiir2itif,-(19,é pim'" chose '?J'e'..1p!, ,edyel,(feeq n'alitant- 411,à1e8'.e3/P-le tiine
nierait des.ie u'Cliès continues , otPlé. treôbréelt d isséinieeü?i4tforrhément dans certainess-'-'rliir des rnalikSlirige>ei!'Ie fe rai remarquer r> .'..b511flie et . ineptie -
temps etelebbServations faites nini-seeiellnt en Lorraine, Mais d'ans pluSieurs autres contrées, s'accordant à présenter le gyPse et le sel gemnie comme deux substances en quelque sortesatellites l'une de l'autre, il faudra 'qu'on, 7Cei-ittde leur existence dans un 'terrain tile exp icailà`n com-
mune , et que , d'après ce qui précède, il paraît
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