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SUR LE TRAITEMENT
DE LA BLENDE DE DAVOS.
en comparant ces deux compositions chimiques.
lieu de la longueur totale sur un mur (l'appui;
à l'état d'acide sulfurique et se porte sur la chaux et l'oxide de zinc. Dans le deuxième grillage, la chaux continue à décomposer le sulfate de zinc et à s'emparer de l'acide sulfurique : en outre, le charbon que l'on mele transforme quelques autres: parties de sulfate de eue ensulfite ; la chaleuedégage ensuite l'acide sulfureux de ce dernier sel.
Deux murs latéraux forment la sole; chacun d'eux offre douze ouvertures arquées , queje
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Dans le premier grillage , une grande partie du soufre qui constitue la blende se dégage à l'état d'acide sulfureux ; le soufre restant passe
Cet. aperçu fait apprécier le , rôle utile que jouent 'et le carbonate de chaux laissé dans la blende et la chaux incorporée dansles briques à
Le sulfure de zinc ,.tranSformé en oxide,
doit être réduit par le charbon; Le fourneau
up,
dans lequel se fait cette opération, est représenté Pl. 11,f/à,. I, 2, 34:-.; Voici l'explication du dessin : 431,>,..,.,.:cliauffe du -fourneau; elle s'élargit vers le
milieu. Le but de cette disposition est de réfléchir la flamme du bois quihrûleraux deux extrémités vers la partie centrale du fourneau. Le calorique 'est ainsi réparti d'une manière plus
uniforme;tle combustible est soutenu par un
plafond en briques, qui s'abaisse vers le milieu d'où il résulter:tue le bois, jeté par les ouvertures (Pd', pousse Vers le centre les bûches à demi
.brûlées,
Ouvertureedans le plafond de la chauffe ; e elles permettentà l'air entré par les portes E e de pénétrer à travers le combustible.
La sole du fourneau est recouverte de deux voûtes en arc de cloître, qui se joignent au mi
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n est une ouverture percée dans ce mur ; elle permet la jonction des flammes parties des deux extrémités de la chauffe.
nomme arcades ; elles correspondent aux. (l'eux rangées de douze pots, dans lesquelsla réditeflon s'opère. -Fig. 2. 7T. représente la section horizontale-eati
pot supposé dans la position qu'il occupe)iéPbr-Jdf lement. Fig. 3. ést uiie:arcadians laquelle otii:a représenté l'ajutageqin conduit le zinc .distilléd'Ui pot dans la cuve cp à travers l'ouverture p. Kg. 3. th sont des arcades fermées antérietti-
rement par des portes en tôle. Un crocliii*.etient chaque porte; l'ouvrier peut toujoters rai utage
que ffappelle conducteur de:zietà ?fpdr
un trou percé 4 travers la porte. Fig. 3. 4, 1, soupiraux qui livrent passage aux vapeurs aqueuses dégagées par le massif cru fourneau. ' Tout le grand fourneau esticonstruit eutribe7,
ques réfractaires jusqu'aux lignes coco,,eeco;laifraàié
extérieure est en briques ordinaires:' Les pots dans lesquels s'opèrent la réductidivet la distillation du zinc sont faitsferr,argileftrèS44 fractaire : c'est un mélange d?argileAel très-alumineuse, et d'argile de Scheppeburg,riche en silice; on y mêle de la poussière de vieux pots; on en fait une pâte, avec laquelle ,otebâtit le pot dans un moule de bois.
La forme d'un pot est celle d'un demilin7
dre , dont l'axe est horizontal ; il est terminé Inférieurement par une surface plane. Il est bouché