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396 Glucinium.
Yttrium. Cérium. Manganèse.
CHIM1E.
droits .rhomboïdaux.
Le sel dyttrium cristallise en cubes dagues-.
cens.
Le sel de cérium cristallise en tubes perma-
riens à l'air.
Le sel de manganèse cristallise en prismes rhomboïdaux transparens, d'un rouge pâle, qui tombent en déliquescense dans l'air humide quand il fait chaud. Il est composé de Chlorure de manganèse. Perchlorure de mercure. Eau
Fer.
Cobalt.
EXTRA/TB.
Le sel de glucinium cristallise en prismes
. .
0.27oo 0.5577
i
at.
0.1523 4
Le sel defer cristallise en prismes rhomboïdaux
d'un jaune de miel, très-déliquescens. Ils sont isomorphes avec le sel de manganèse et renferment par conséquent i atome de proto-chlorure de fer, etc. Le sel de cobalt cristallise en beaux prismes rhomboïdaux d'un rouge bleuâtre et déliquescens. Ils sont isomorphes avec les sels de fer et de manganèse.
Il y a deux sels de nickel. Le premier cristallise en petits grains tétraédriques réguliers d'un vert pomme, non déliquescens. Le second cristallise en prismes rhomboïdaux obliques, courts,
Cuivre. Zinc.
Plomb.
un peu déliquescens. Le sel de cuivre cristallise en aiguilles prismaligues ou en faisceaux qui se conservent dans l'air. Le sel de zinc cristallise très-difficilement, en aiguilles ou en tables extrêmement déliquescentes. Le perchlorure de mercure ne paraît avoir aucune tendance à se combiner avec le chlorure de plomb.
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6i. De l'action du MERCURE- sur di- erens métaux; par M. Daniel]. (Joum. de l'institution, 183o.) Si l'on plonge dans du mercure des tiges d'é-
tain, de plomb, de zinc, d'argent ou d'or, au bout d'un certain temps elles se couvrent de cristaux d'amalgames. Le mercure n'a absolument aucune action sur
le platine; mais si l'on emploie du platine en éponge et si l'on ajoute au mercure de l'eau acidulée par de l'acide acétique, ou contenant en dissolution quelque sels neutres l'amalgame se forme, il y a dégagement d'hydrogène et l'acide acétique dissout du mercure. Les amalgames d'or et d'autres métaux ne produisent pas le même phénomène avec l'acide acétique.
62. Expérience sur la résistance clu PLOMB à
l'écrasement et sur l'influence qu'a sur sa dureté une quantité inappréciable d oxide;
par M. Coriolis. (Ann. de Ch., t. 44, p. 103-) La durée de la charge a une grande influence sur l'écrasement du plomb ; après une heure, ce métal est loin d'être arrivé à un état stable. La présence d'une petite quantité d'oxide augmente considérablement sa dureté : ainsi des v de plomb pur fondu sous du charbon et coulé à l'abri du contact de l'air, de 68o d'épaisseur étant réduits à 355 sous une charge de i5oo kilog.; des cylindres de même épaisseur faits, I°. avec du plomb d'orfèvre, 20. avec le même plomb fondu une seconde fois et coulé sans précaution, ne se sont réduits qu'à 463 et 490. La température à laquelle on coule le plomb n'a absolument aucune influence sur sa dureté.