Annales des Mines (1832, série 3, volume 1) [Image 209]

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ANALYSES.

EXTRAITS.

6. Recherches sur les EAUX de Wildbab ; par Giensen.) Tubingue , 1828.) Une livre de ces eaux contient

rait certain que le sel de Sezannes , département

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Muriate de soude Muriate de magnésie Muriate de chaux Sulfate de chaux. Sulfate d'alumine Carbonate de chaux Carbonate de magnésie. Carbonate de fer Silice. -

0.021 0.049 0.009 0.061

de la Marne, qui avait occasioné des maladies dans le pays, contenait aussi de l'arsenic. 9. Analyse des EAUX MINÉRALES de Ronneby; par

o.o65 2 2.511 2.031 0.166 0.019 0.090

et en outre 2,68 pouces cubes de gaz acide carbonique, 0,32 de gaz azote et o,o6 de gaz oxigène. -

Ànalyse de l'EAU MINÉRALE de Bath ; par

M. Walcke. (Quat. Journ. , 1829.) Cette eau contient Chlorure de sodium. . Chlorure de magnésium.

0.0002156 0.0001902 Sulfate de soude. . . . 0.0002762 Sulfate de potasse. . . 0.0000417 'Sulfate de chaux. . . . 0.0011637 Carbonate de chaux. . . 0.000152 r Proto-carbonate de fer. 0.0000035 0.000002 t Alumine o 0000561 Silice.

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M. Berzelius. (Edimb. Journ., 1830, p. 371. ) Ronneby est dans la province de Bleking en Suède, à 15 à 20 milles de Calsorona. La pesan-

teur spécifique des eaux est de 1,00255. Elles contiennent : Proto-sulfate de fer Proto-sulfate de manganèse Sulfate de zinc Sulfate de chaux Sulfate de magnésie Sulfate de soude Sulfate de potasse Sulfate d'ammoniaque. . 1VIuriate d'alumine Silice,

O. 0020912

elle renferme en outre de l'acide carbonique et de l'air atmosphérique. 8. Note sur l'existence de l'ARSENIC dans le SEL MARIN; par MM. Latour de Trie et Lefrançois.

( Journ. de Pharm., t. i6, p. 618.) Nous avons trouvé dans un .échantillon de sel pris dans le commerce et qui avait occasioné de graves accidens, o,0004 d'acide arsenieux. li pa

o.00ro686 0.0000260 o 0000133 o 0003705 0.00017 t 6

o 0004790 0.0000433 0.0002126 o 0000230 o 000m51

0.0025230

io. Sur l'existence clic CUIVRE dans les végétaux et dans le sang; par M. Sarzeau. (Journ.

de Pharm., t. 16, p. 5o5.) M. Meissner a annoncé l'existence du cuivre dans les végétaux en 1817, mais il n'a pu en apprécier la quantité. Des expériences faites avec le plus grand soin m'ont fait connaître que le café contient près de un cent-millième de cuivre; le quinquina gris, la garance, le froment, un demicent-millième, la farine et le sang une trace. Pour doser ce métal, je brûle i kilog. de la substance, je traite les cendres par l'acide nitrique, je précipite par l'ammoniaque en excès, je verse dans la liqueur quelques gouttes de prussiate 27 Tome ler./ 1832.