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SUR LES FOURNEAUX 688 b, b. fig. t et 6. Grille de fonte à 5 pouces en contre-bas du passage de la flamme : elle est supportée par deux barres transversales c, c.
j, j. fig. 3, Ouverture pour l'introduction de deux traverses de fer servant de supports à la grille.
cl, d. fig. t et 6. Ouverture ou trémie servant à jeter le combustible sur la grille de la chauffe. Fig. 1, 5, 6, 7, 8, o. Plan et coupe de l'appareil par le moyen duquel la charge de la chauffe s'opère à feu couvert : il se compose des pièces suivantes
I°. D'un châssis ef, fig. 5, 10 et II, de fer
forgé ou de fonte, divisé en deux compartimens g., h; le premier g, rempli dans son intérieur par des briques ou un grand carreau de terre à gazette;
le second h, recouvert par une plaque de tôle, évidée dans son milieu, pour recevoir un cylindre
de forte tôle i , fig. 6, 7, 8, fermé dans sa partie supérieure par un couvercle k, et dans sa partie 0, inférieure par un registre à coulisse n également en tôle, et dont la tête est fixée par deux pattes rn,na dans le fer de ceinture oo, fig. 8, qui couronne la chauffe, ledit châssis armé en outre
d'une tige de fer p , fig.5 , 6 et 7, terminée par une poignée y, fig. 5. 2'. D'une tringle de fer r, r, fig. 5 , terminée par des pattes fixées avec des vis dans le même fer
de ceinture oo , et liée audit châssis par deux conduits ou pitons à oeil, et dont l'effet est de guider l'appareil dans son mouvement de translation. Entre les charges, le compartiment h du châssis
sert de fermeture à la trémie, comme on le voit fig. 5. Quand on veut charger, on lève le couvercle k, on jette la houille dans le cylindre i , qui se trouve
FUMIVORES.
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alors fermé dans sa partie inférieure par le registre, et on remet le couvercle en place. Cela fait, l'ouvrier saisit la poignée q, et la pousse jusqu'à ce que la partie antérieure e, e , fig. 5 de l'appareil soit arrivée en t, t, on elle se trouve arrêtée par deux points fixes. Par suite de ce mouvement
de translation, le second compartiment h se .
trouve occuper la place que le premier g occupait, c'est-à-dire que le cylindre i repose sur la trémie d,fig. 6 et io; mais comme le registre n, n n'a pu
participer à ce mouvement, puisqu'il est fixe, il s'est ouvert naturellement, et la houille, qui n'était plus retenue, est tombée sur la grille. La charge ainsi opérée, l'ouvrier ramène l'appareil dans sa position primitive, et le registre se referme de lui-même. Les coulisses v , , fig. II, dans lesquelles glisse le registre, peuvent se pratiquer par la pose de
trois petites tringles de fer x, x, x, entre le
châssis du deuxième compartiment, et la feuille de tôle qui le recouvre. ( Voyez les fig. io et ii.) u', , a' , fig I et 4, Ouvertures ménagées dans la partie supérieure et sur les flancs de la chauffe, et dont l'effet est de diriger, soit au moment où la houille est projetée sur la grille, .soit quand on fourgonne le leu., des lames d'air sur le jet ou la -pyramide de flamme qui s'introduit sous la moufle. b', b' ,b' , lig
5, et 8. Registres de tôle forte destinés, soit à intercepter par leur fermeture le passage des lames d'air, soit à introduire, par leur plus ou moins grande ouverture /a quantité d'air nécessaire, quantité dépendante de la grandeur de la
de la nature du. combustible ( bois ,
charge' tourbe ouhouille ), du temps qui s'est écoulé deTom. HL 1833. 44