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tingue ces deux espèces de fonte à la manière dont
que j'entre dans quelques détails sur les dépenses de fabrication de la fonte dans ce pays.
elles coulent, et aux stries qui se produisent sur leur surface lorsqu'elles se refroidissent.
cueillis sur les expériences faites, soit à Dowlais
partie supérieure du bain donne le n". 2. On dis-
Usines du pays de Galles. Il n'existe dans le pays de Galles que deux usines qui marchent au moyen de l'air chaud, celle de Warteg et Blum- uvon-Works , io milles d'Abergaveny. Aucune des usines de Myrthir-tid vil
n'emploie ce procédé, quoique cependant on ait Usines dupays fait dans plusieurs d'entre elles, et notamment à de Galles.
DANS LES USINES A FER.
EMPLOI DE L'AIR CHAUD
Dowlais et à Pen-y-darran, des essais pour l'introduire; l'abandon de l'air chaud, dans un pays si riche en forges, et dans lequel les propriétaires sont constamment occupés de perfectionnemens; a fait naître beaucoup de doutes sur la réalité des avantages qui résultent de cette nouvelle méthode. Les moins incrédules ont pensé que, si effective-
ruent l'air chaud avait apporté une économie considérable dans les usines d'Ecosse où l'on obtenait de la fonte de moulage, ce procédé n'était
pas susceptible d'être employé pour la fonte
destinée à la fabrication du fer; les exemples que fournissent les usines de Newcastle, de CodnorPark et Wenesbury, , dans lesquelles on fabrique du fer de très-bonne qualité, prouvent que cette
opinion n'est pas fondée. On doit attribuer l'abandon de ce procédé dans le pays de Galles, en partie à la mauvaise disposition des appareils, mais surtout à ce que la faible économie qui en a'bCaanud"osnae, résulterait depuis l'emploi du charbon en nature a'air chaud. serait presque compensée par les droits du brevet.
Pour faire apprécier ces raisons, il est nécessaire
D'après le peu de renseignemens que j'ai resoit à Pen-y-darran, il paraît que les appareils, d'une construction vicieuse, ne permirent pas de donner à l'air une température supérieure à Fahr. 1.48°,8 cent. Malgré cette faible température, on essaya avec
succès la substitution de la houille en nature au coke; un accident arrivé à l'appareil et qui Obligea
de suspendre, pendant plusieurs jours, de l'air chaud, apprit bientôt qu'on pouvait, sans inconvénient, se servir de houille crue, même à l'air froid. L'économie qui résulta de cette substitution fut telle, qu'on ne crut pas possible d'en
obtenir une plus grande, et l'on ne répara pas l'appareil, qui était à peu près hors de service; depuis ce moment, presque tous les fourneaux du Pays de Galles consomment de la houille crue ; quelques-uns seulement emploient un mélange de bouille et de coke; le tableau suivant faitconnaître la quantité de houille actuellement nécessaire pour obtenir une tonne de fonte. A. Pen-y-darran (1). Houille.
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On doit ajouter la quantité de houille dépensée (i) J'ai suivi les travaux de Pen-y-darran pendant