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ESSAls DE SONDAGE
PAR LÉ PROCÉDÉ CHINOls.
jusqu'à ce qu'il devienne nécessaire d'enlever
sont enlevées en même temps que l'outil , qui est converihblement construit pour cet usage. M. Sello ne pense pas qu'il pût y avoir avantage à compli-
de la -puissance et de la résistance sont comme de sorte que chaque ouvrier agit avec 2,7
paraît aussi très-diflicile que le -trou soit bien curé
au sommet de sa course, et empêche la roue de tourner davantage. Les ouvriers continuent ainsi, les boues. Dans la manoeuvre les bras de levier effort
- -1,(:le 8o livres.
.Pendant: que l'outil est soulevé ou retombe, l'ouvrier place à la poignée x, la tourné chaque fois d'une petite quantité, en allant de droite à gauche ou de gauche à droite de façon qu'après une vingtaine de coups, il lui ait fait décrire une circonférence entière. Si , lorsqu'on a tourné longtemps dans un sens, la corde est trop tordue , il suffit de cesser de tourner pendant quelque temps, et de laisser la poignée revenir seule par l'action de la corde. L'expérience a prouvé que le travail
était activé par les mouvemens de rotation cidessus indiqués, ce qui prouve que ces mouvemens en produisent un sur l'outil. Aussitôt que l'accumulation des boues rend l'opération plus difficile, on procède au curage : pour cela on enlève le levier, on ôte la corde de la roue pour la mettre sur le tour, on fixe les manivelles, on détache la poignée x, on enlève la pièce b, et on retire l'outil pour descendre la cuiller z. Celleci est un cylindre à soupape, long de pieds 7 pouces, et de 4 pouces 1; de diamètre , fixé -à-One
corde particulière, qui s'enroule sur le toute:, On descend rapidement ce eylindre.,:et quand il 'est près du fond, on le soulève et on le laisse retomber,
jusqu'à ce qu'il soit bien parvenu au fond, où on le laisse quelque temps, pour 'qu'il puisse se remplir, après quoi on le retire. (Il paraît que les Chinois n'emploient pas de cuiller, et que lés boues
quer la construction de l'outil , pour éviter une Manceuvre, qui prend assez peu de temps : il lui dans la méthode chinoise.) Trois botn m es ont été employés à forer un trbil de 4 pouces de dia Mètre , et de 24 toises dé pro
fondeur, deux au tour et un à la poignée. il n'est .arrivé d'accident d'aucune espèce; ainsi
on n'a pas eu l'occasion d'essayer comment on aurait pu retirer l'outil en cas de rupture de la corrlè Il semble toutefois que là rupture de la corde né serait pas plus dangerense que celle des, tiges da ris 1 e sondage ordi na ire ; maisl e cas éçhéa nt, l'emploi des tiges et des arrache-sondes ordinaires
faciliterait, sans doute l'extraction de l'outil demeuré au fond du trou. Indépendamment de l'outil représentélig. 2, M. Selln à essayé des outils différenS , entre autres le ciseau double ordinaire fig. 5, le trépan simple fig., 3 et 4, et d'antres d'init.e constructiOli particulière plus conipliquée. Il fait ob§érver -que si l'Oh voulait ernployel, lè trépan sitn7
plé,, il deviendrait indispensable d'employer dé' temps eu :temps ralléiOit ordinaire, Mite qUe le trou conserve rine forrite ËXRététtlent 'cylindrique.
L'avantage dé l'instrimient , composé de l'allésoir et .dtt double ciseau en croix, serait encore plus marqué ài les trous, destiné au passage des boues et dé l'eau , pouvaient être plus grands. Bien ciné la comparaison des résultats obtenus avec divers outils né conduise pas à des conclusions
certaines, à cause des variations possibles dans Il