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DE SUBSTANCES MINÉRALES.
ANALYSES
0.0137 oxig. 2370 0.3960
Silice fibreuse . . Acide sulfurique. Oxide de fer . . Alumine Magnésie. Eau
0.2611 0195 0.0264 0 2967
0
801
--
102
2637
103134
il est probable que c'est le sulfate »Ëe2S5--1-.18 mêlé de sulfate d'alumine et de magnésie. Le second sulfate basique n'existe qu'en petite quantité, sons forme de concrétions fibreuses; il est d'un vert jaunâtre sale : il a l'éclat soyeux, l'eau le dissout en en séparant de l'oxide de fer; il contient Silice fibreuse. . 0.0143 oxig. 1899 Acide sulfurique. 0.3173 862 Oxide de fer. . 0.2811 .
Chaux. Magnésie
0
0191
0 0059 0.3656
Eau.
--
54
23 3250
1.0033
Sa composition est représentée par la formule 2 .F..e.S.2-1-21
Le sulfate d'alumine ne se trouve que dans quelques échantillons mêlé avec les sels précéciens. Il est en petites masses irrégulières, clivable dans un sens, et à cassure inégale dans les autres sens, incolore et transparent. Il contient : 0,0137 Acide sulfurique. 0,3697 oxig. 2213 79 0,0258 Oxide de fer. . 683 o, 1463 Alumine. 5 0,0014 Magnésie 3968. Eau.. . . °,4464 Silice
.
1,0o33
573
Ce sel a déjà été trouvé dans la péninsule de Araya, par M. de Humboldt, en Colombie par M. Boussingault, et par MM. Shepart et HartWall dans l'île Mélo.
Le sulfate de, cuivre ne se trouve qu'en très petite quantité et à l'état cristallin. Il provient sans aucun doute de la décomposition du cuivre sulfuré que l'on observe çà et la dans le gîte minéral. 11 a exactement la même composition que le sulfate ordinaire.
42. Sur la composition du
BRONZE ;
par
M. Meyer. ( Journ. d'Erdmann. )
On sait depuis long-temps que les taches blanches qui se manifestent dans le bronze ne sont pas formées d'étain pur comme on l'avait cru d'abord, mais bien d'étain cuivreux. On trouve effectivement dans la matière qui produit les taches de
0.16
à o.27 d'étain et 0.84 à 0.73 de
cuivre; mais en triant la matière avec soin pour en extraire la partie la plus blanche et la plus brillante, j'ai trouvé dans cette partie o.3o d'é-
tain, proportion qui s'approche beaucoup de o.3155 que renfermerait l'alliage à iat. d'étain pour 2.1 de cuivre. Il paraît donc que c'est ce der-
nier alliage qui se forme réellement, et il y a tout lieu de penser que c'est la seule combinaison
chimique qui puisse exister entre ces deux métaux, et que tous les alliages utiles dans les arts ne sont que des mélanges de cette combinaison avec un excès de l'un des deux métaux. Un grand nombre de recherches synthétiques ont appris qu'il ne faut qu'une très petite dose d'étain pour durcir le cuivre; que la dureté de