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EXPLOITATION DES MINES
DU CORNWALL ET DU DEVON.
qu'il doit diminuer la quantité de vapeur admise à chaque coup de piston. Quelquefois la traverse horizontale, fixée à l'appendice A, vient ébranler une sonnette avant de toucher les pièces B. .Quand cette sonnette n'est pas touchée , le machiniste est prévenu que le piston n'a pas par-
poli, exactement rodé, où elle est fixée au moyen d'une traverse inférieure k, et de boulons h,
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l'amplitude de sa couru à la descente toute course.
Avant d'entreprendre Détails ies soupapes. du jeu de la machine et
la description détaillée des mécanismes qui ou-
vrent et -ferment les soupapes, il est nécessaire d'indiquer la construction de celles- ci. Il faut pour .cela se reporter aux fig. 4, 5 et 6. 5, La soupape régulatrice (governor valve),lig. Le tuyau à est une soupape à coquille ordinaire. s'embranche sur vapeur, venant des chaudières, la boîte a par une oul'orifice , et pénètre dans en verture que l'on rend plus ou moins grande, De là la moins la soupape 2. soulevant plus ou b de la soupape répand dans la boîte vapeur se d'admission 3; quand celle-ci* est ouverte, elle la traverse et arrive dans le haut du cylindre par l'orifice 4. Un coup d'oeil jeté sur les fig. 4, d' ad5 et 6, fait voir que les trois soupapessont de d'équilibre et d 'exhaustion mis s ion dimenmême forme et ne diffèrent que par leursseule, la sions. Il suffira donc d'en décrire une qui soupape d'exhaustion , fig. 6, par exemple, les autres. Les a de plus grandes dimensions que 6, les tailles de gravure indiquent, sur la fig. coupées. La soupape parties de la boîte qui sont qui est est entièrement en bronze, sauf la tige t deux parties, en fer forgé. Elle se compose de t. l'une fixe d, l'autre ii, mobile et liée à la tige siége contour sur .un La partie d repose par son
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h, terminés. par un pas de vis qui s'engage dans un écrou en fer, noyé dans la partie inférieure de la traverse k. Elle a la forme d'un
cylindre creux, terminé supérieurement par une surface plane, ouvert inférieurement, et dont le contour cylindrique est à claire-voie, c'est-à-dire est formé de petites portions de surfaces cylindriques, séparées par des intervalles vides, d'une étendue plus considérable.. Les parties pleines ou cdtes se lient supérieurement et inférieu-
rement à deux anneaux complets, qui forment le rebord du fond supérieur du cylindre, et le contour par lequel il repose sur son siége. Afin de
renforcer les parties pleines de la surface cylindrique, elles sont liées à des cloisons qui viennent converger suivant l'axe du cylindre. Les boulons h, h sont cachés dans un vide cylindrique pratiqué dans deux de ces cloisons, renflées à cet effet.
Il résulte de cette construction que, si la partie mobile était enlevée, la vapeur qui remplit la boite E passerait librement par les ouvertures de la partie fixe.
La partie mobile ii est aussi un solide creux de forme annulaire : elle est ouverte en haut et
en bas. Elle tient à la tige t par deux traverses en croix, telles que b b , qui, ayant beaucoup de hauteur et peu de largeur, laissent un grand passage à la vapeur. Lorsqu'elle n'est pas soulevée, elle repose sur la pièce fixe par deux portions de surfaces coniques ss, sY, qui viennent couvrir des surfaces égales, exactement polies , sur les contours supérieur et inférieur de la partie fixe.
Entre ces portions de surfaces coniques, dont