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TIRAGE A. FROID, ETC.
NOTICE
multipliant par le nombre des bobines indiqué sur le Même tableau, on trouvera que, pour une
Sur la construction des puits de mines et la
usine on l'on emploie des barreaux de erm. et audessus, il faut une force de 88 chevaux pour assortir tous les échantillons. Lorsqu'on emploie des barreaux de 5mm., il ne faut plus qu'une force de 6o chevaux.
méthode dite quaffering d'arrêter les sources qu'ils traversent.
Par M. CHARLES HAMOND, ingénieur civil, direcleur des mines de houille du 'Vigan (Gard).
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Puissance mécanique consommée par les bobines.
Force Numéro du plus gros
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sur chaque bobine.
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La manière ordinaire de faire des puits de
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Bobine N.. 26. o,55 0,20 8
par chaque bobine
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kilos,
2578,72 515,744 6,87
-- rq.. 21 o,48 0,28 5,74 32,947 1317,90 1336,62 374,253 4,99 - N.. 21. 0,43 (3,34 4,65 21,622
-N.
864.88
883,6o 300,424 4,00
19. 0,38 0,42 3,76 14,137 565,48 584,20 245,364 3,27
- N°. 17. 0,33 0,52
3,05 9,202 368,08 386,08 201,136 2,68 2,011 4,040 161,60 180,32 142,453 1,89 0,22 1,48 1,P8 /,I88 46,64 65,36 86,733 1,17
- N., /3. 0,27 0,79
- N.. 7
.
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Le dernier tableau présenté ici résume tout ce qui précède et permet d'en faire l'application. Il est le développement de la formule trouvée phis haut,et fait voir de quelle manière simple on peut l'employer dans tous les cas.
mines en France consiste à garantir les parois, à mesure qu'on descend, par un simple boisage composé de cadres placés les uns au-dessus des autres, de distance en distance, derrière lesquels sont des planches que l'on force contre la terre par des coins. Ces puits sont nécessairement de forme rectiligne. On en fait aussi de ronds et d'ovales, dont les parois sont bâties en maçonnerie. Aucun de ces moyens n'arrête les eaux qu'on rencontre en descendant : ils n'ont d'autre but que de con-
solider les parois. La meilleure, et je crois la seule méthode employée jusqu'ici en France pour
traverser des sources ou des amas d'eau, les arrêter et poursuivre le foncement à sec, est cell.e connue sous le nom de cuvelage, pratiquée avec succès à Anzin, plus tard à Vie, à Schnecken, enfin au Vigan. Elle consiste à traverser les terrains perméables, par un boisage ordinaire , jusqu'à ce qu'on arrive à une roche solide, sur laquelle on place une trousse ou fort cadre de bois, qui sert d'appui pour chasser, contre les parois, des plan-
ches de peuplier ou lambourdes garnies de mousse, au moyen d'une infinité de petits coins ou picots. Cette trousse picotée sert de base pour Tome FI, 1834. 2